Les corps de trois des 14 combattants libanais tués en Syrie (certains parlent de 16) , ont été remis hier aux autorités libanaises. Ces combattants qui avaient rejoint les rebelles syriens ont été froidement mitraillés, dans une embuscade près de la ville de Tell Kalakh, dans la province de Homs.
Les corps ont été remis, au poste-frontière nord de Arida, à une délégation de dignitaires sunnites de Dar el-Fatwa présidée par cheikh Amine Kurdi, et conduits vers Tripoli, dans un convoi de la Sûreté générale. L’un des corps au moins porte les traces de tortures, assurent ses proches.
Les corps sont ceux de Khodr Alameddine (Minié), de Abdel Hamid Ali Agha (Kobbé) et de Mohammad Ahmad el-Mir (Kobbé). La dépouille de ce dernier a été acheminée au Liban comme étant celle de Malek Hage Dib, mais les parents de celui-ci se sont rendu compte de la méprise, en ouvrant le cercueil.
Les parents des 11 autres victimes ont averti l’État qu’ils auraient recours à des actions d’obstruction, telles que la fermeture de routes, pour faire pression sur l’État et obtenir plus rapidement la restitution des corps de leurs enfants. La Syrie a annoncé, pour sa part, sans donner de raison valable, qu’elle remettrait les corps des victimes en trois étapes.
Les corps ont été remis, au poste-frontière nord de Arida, à une délégation de dignitaires sunnites de Dar el-Fatwa présidée par cheikh Amine Kurdi, et conduits vers Tripoli, dans un convoi de la Sûreté générale. L’un des corps au moins porte les traces de tortures, assurent ses proches.
Les corps sont ceux de Khodr Alameddine (Minié), de Abdel Hamid Ali Agha (Kobbé) et de Mohammad Ahmad el-Mir (Kobbé). La dépouille de ce dernier a été acheminée au Liban comme étant celle de Malek Hage Dib, mais les parents de celui-ci se sont rendu compte de la méprise, en ouvrant le cercueil.
Les parents des 11 autres victimes ont averti l’État qu’ils auraient recours à des actions d’obstruction, telles que la fermeture de routes, pour faire pression sur l’État et obtenir plus rapidement la restitution des corps de leurs enfants. La Syrie a annoncé, pour sa part, sans donner de raison valable, qu’elle remettrait les corps des victimes en trois étapes.
Les corps de trois des 14 combattants libanais tués en Syrie (certains parlent de 16) , ont été remis hier aux autorités libanaises. Ces combattants qui avaient rejoint les rebelles syriens ont été froidement mitraillés, dans une embuscade près de la ville de Tell Kalakh, dans la province de Homs.Les corps ont été remis, au poste-frontière nord de Arida, à une délégation de...
C'est triste, certes, mais personne ne les a obligé a se faire trucider pour une cause qui n'est pas notre. Il faut en assumer les conséquences surtout lorsque les autres en face ne sont pas des enfants de coeur. Il est temps de ne s'occuper que de nos oignons, mettre la pression sur nos criminels et nos Nazis. Ils sont heureux de voir le combat se transposer à l’étranger car cela allège la pression sur eux. Cela leur donne des raisons pour chercher a perdurer le plus longtemps possible même si leur monde s’écroule. Faisons de notre mieux pour que cela ne se fasse pas aux dépends du Liban et des Libanais tous bords confondus. Les enfants prodigues ça existent partout!
03 h 12, le 10 décembre 2012