« La chute du régime syrien est une affaire de semaines, pas plus », a affirmé hier Boutros Harb. « Les choses se précipitent pour le régime syrien », a estimé le parlementaire, qui s’adressait à un groupe de journalistes à l’issue d’un entretien avec le nouvel ambassadeur d’Égypte, Achraf Hamdi, qui lui rendait une visite protocolaire.
« Dans cette éventualité, la situation pourrait se retourner contre le gouvernement de Nagib Mikati et le contraindre à partir au plus vite », a ajouté M. Harb, qui a effectué avec le diplomate un tour d’horizon des grandes questions d’actualité. « N’oublions pas que c’est ce régime, avec l’appui du régime iranien, qui a imposé l’actuel gouvernement aux Libanais. Mais les contacts ne sont pas pour autant rompus avec M. Mikati, sinon sur le plan politique, du moins sur le plan personnel. » À son avis, toutefois, « le dialogue avec ce dernier est stérile, dans la mesure où le Premier ministre est l’otage du gouvernement ».
Dans le cours de l’échange qu’il a eu avec les journalistes, M. Harb a également affirmé que le camp du 8 Mars tente de torpiller les prochaines législatives. « Ce gouvernement ne veut pas d’élections, parce qu’il ne veut pas quitter le pouvoir. Mais le Liban et notre système démocratique ne doivent pas payer le prix de la lutte politique en cours. Nous ne permettrons pas au gouvernement d’embourber davantage le pays, ou de compromettre le processus d’élaboration d’une nouvelle loi électorale. Nous explorons en ce moment des pistes qui nous permettraient de participer à ce processus, sans pour autant exposer nos vies au danger », a indiqué M. Harb.
« Nous ne leur faciliterons pas la tâche d’assassiner les forces du 14 Mars », a-t-il conclu, commentant la dernière en date de ces tentatives, qui visait cette fois le député Ammar Houri. « Notez comment depuis 2005, ce sont toujours les personnalités du même camp que l’on élimine ou qui échappent par miracle à la mort », a-t-il insisté.
« Dans cette éventualité, la situation pourrait se retourner contre le gouvernement de Nagib Mikati et le contraindre à partir au plus vite », a ajouté M. Harb, qui a effectué avec le diplomate un tour d’horizon des grandes questions d’actualité. « N’oublions pas que c’est ce régime, avec l’appui du régime iranien, qui a imposé l’actuel gouvernement aux Libanais. Mais les contacts ne sont pas pour autant rompus avec M. Mikati, sinon sur le plan politique, du moins sur le plan personnel. » À son avis, toutefois, « le dialogue avec ce dernier est stérile, dans la mesure où le Premier ministre est l’otage du gouvernement ».
Dans le cours de l’échange qu’il a eu avec les journalistes, M. Harb a également affirmé que le camp du 8 Mars tente de torpiller les prochaines législatives. « Ce gouvernement ne veut pas d’élections, parce qu’il ne veut pas quitter le pouvoir. Mais le Liban et notre système démocratique ne doivent pas payer le prix de la lutte politique en cours. Nous ne permettrons pas au gouvernement d’embourber davantage le pays, ou de compromettre le processus d’élaboration d’une nouvelle loi électorale. Nous explorons en ce moment des pistes qui nous permettraient de participer à ce processus, sans pour autant exposer nos vies au danger », a indiqué M. Harb.
« Nous ne leur faciliterons pas la tâche d’assassiner les forces du 14 Mars », a-t-il conclu, commentant la dernière en date de ces tentatives, qui visait cette fois le député Ammar Houri. « Notez comment depuis 2005, ce sont toujours les personnalités du même camp que l’on élimine ou qui échappent par miracle à la mort », a-t-il insisté.
« La chute du régime syrien est une affaire de semaines, pas plus », a affirmé hier Boutros Harb. « Les choses se précipitent pour le régime syrien », a estimé le parlementaire, qui s’adressait à un groupe de journalistes à l’issue d’un entretien avec le nouvel ambassadeur d’Égypte, Achraf Hamdi, qui lui rendait une visite protocolaire.« Dans cette éventualité, la...