Le président de l’Association des commerçants de Beyrouth (ACB), Nicolas Chammas, s’est insurgé contre le comité de coordination syndicale, soulignant que le recours à la rue ne faisait qu’envenimer une situation déjà tendue. Dans une entrevue accordée à une chaîne de télévision locale, M. Chammas a indiqué que les organismes économiques tenaient à la double stabilité économique et sociale. Rappelant que l’année 2012 avait été désastreuse pour les commerçants, le président de l’ACB a souligné que le secteur privé n’était pas en mesure de supporter des coûts supplémentaires pour financer la réévaluation de la grille des salaires, « une réévaluation qui fait suite aux conséquences de mauvaises décisions prises par le gouvernement », a-t-il ajouté.
« La solution constructive est d’avoir recours à la table de dialogue promise par le Premier ministre Nagib Mikati », a en outre indiqué Nicolas Chammas, expliquant que les instances économiques soutenaient toutefois l’arrêt de la fuite fiscale et de la corruption. « Nous sommes passés par cette situation en 2008, a-t-il rappelé ; une condition qui avait mené à la chute du gouvernement au bout de trois ans », a rappelé M. Chammas.
« La solution constructive est d’avoir recours à la table de dialogue promise par le Premier ministre Nagib Mikati », a en outre indiqué Nicolas Chammas, expliquant que les instances économiques soutenaient toutefois l’arrêt de la fuite fiscale et de la corruption. « Nous sommes passés par cette situation en 2008, a-t-il rappelé ; une condition qui avait mené à la chute du gouvernement au bout de trois ans », a rappelé M. Chammas.
Le président de l’Association des commerçants de Beyrouth (ACB), Nicolas Chammas, s’est insurgé contre le comité de coordination syndicale, soulignant que le recours à la rue ne faisait qu’envenimer une situation déjà tendue. Dans une entrevue accordée à une chaîne de télévision locale, M. Chammas a indiqué que les organismes économiques tenaient à la double stabilité...