Excellence,
Je me dois de vous écrire ces quelques lignes pour vous dire l’immense joie et la grande fierté de vous avoir comme président, sentiment qui s’est renforcé et concrétisé lors de la visite historique de Sa Sainteté le pape Benoît XVI.
Vous n’étiez ni chrétien ni musulman, ni 8 ni 14 Mars, ni maronite ni orthodoxe, mais tout simplement libanais, exemple que devrait prendre tout citoyen de ce cher Liban. Vous étiez strict sans être sévère, vous étiez élégant, digne, vous aviez de la classe, vous étiez attentionné et efficace, ce qui ne vous a pas empêché d’avoir des attitudes et des gestes filiaux envers votre auguste invité.
À chaque étape de cette visite nous sentions que nous étions représentés par un vrai chef qui était à la hauteur de la charge qui lui incombe, et cela par votre présence, par vos gestes et par vos
discours.
Le Saint-Père a comparé la mosaïque formée par les différentes communautés libanaises aux épices avec lesquelles nous relevons nos plats nationaux, mais que serait cette cuisine n’était-ce les qualités du premier cuistot que vous êtes.
Je vous félicite et vous remercie d’avoir eu l’idée d’inviter notre pape et d’avoir surtout réussi à applanir les difficultés qui ont précédé ce voyage ; cet événement a été une très grande réussite. À partir d’aujourd’hui, nous nous sentons plus forts, plus rassurés et plus sereins.
Ma famille, une grande partie de mes amis et de mes connaissances se joignent à moi pour vous dire, Excellence, que les valeurs de justice et de liberté sont en de bonnes mains. Que Dieu vous prête longue vie.
Vive le Liban !
Vive son président, le général Michel Sleiman !
Walid MOUZANNAR
Je me dois de vous écrire ces quelques lignes pour vous dire l’immense joie et la grande fierté de vous avoir comme président, sentiment qui s’est renforcé et concrétisé lors de la visite historique de Sa Sainteté le pape Benoît XVI.
Vous n’étiez ni chrétien ni musulman, ni 8 ni 14 Mars, ni maronite ni orthodoxe, mais tout simplement libanais, exemple que devrait prendre tout citoyen de ce cher Liban. Vous étiez strict sans être sévère, vous étiez élégant, digne, vous aviez de la classe, vous étiez attentionné et efficace, ce qui ne vous a pas empêché d’avoir des attitudes et des gestes filiaux envers votre auguste invité.
À chaque étape de cette visite nous sentions que nous étions représentés par un vrai chef qui était à la hauteur de la charge qui lui incombe, et cela par votre présence, par vos gestes et par vos
discours.
Le Saint-Père a comparé la mosaïque formée par les différentes communautés libanaises aux épices avec lesquelles nous relevons nos plats nationaux, mais que serait cette cuisine n’était-ce les qualités du premier cuistot que vous êtes.
Je vous félicite et vous remercie d’avoir eu l’idée d’inviter notre pape et d’avoir surtout réussi à applanir les difficultés qui ont précédé ce voyage ; cet événement a été une très grande réussite. À partir d’aujourd’hui, nous nous sentons plus forts, plus rassurés et plus sereins.
Ma famille, une grande partie de mes amis et de mes connaissances se joignent à moi pour vous dire, Excellence, que les valeurs de justice et de liberté sont en de bonnes mains. Que Dieu vous prête longue vie.
Vive le Liban !
Vive son président, le général Michel Sleiman !
Walid MOUZANNAR
Excellence,Je me dois de vous écrire ces quelques lignes pour vous dire l’immense joie et la grande fierté de vous avoir comme président, sentiment qui s’est renforcé et concrétisé lors de la visite historique de Sa Sainteté le pape Benoît XVI.Vous n’étiez ni chrétien ni musulman, ni 8 ni 14 Mars, ni maronite ni orthodoxe, mais tout simplement libanais, exemple que...
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