
De nombreux Libanais ont pris l’habitude de conserver leur épargne chez eux, ce qui a profité aussi bien au secteur de la sécurité personnelle qu’à celui, opaque et non régulé, du marché des armes. Photo Mohammad Yassine / L'Orient-Le Jour
Avec la crise économique, de nombreux Libanais se sont rués sur ces moyens de protection, au profit de commerçants bien établis ou de trafiquants improvisés.
OLJ / Mohammed YASSINE, avec Suzanne BAAKLINI, le 13 mai 2024 à 10h06
De nombreux Libanais ont pris l’habitude de conserver leur épargne chez eux, ce qui a profité aussi bien au secteur de la sécurité personnelle qu’à celui, opaque et non régulé, du marché des armes. Photo Mohammad Yassine / L'Orient-Le Jour
"Tout citoyen libanais qui désire détenir une arme dite « légère » et « individuelle » doit obtenir un permis du ministère de la Défense", mais curieusement, pour un canon, un char ou un véhicule lance-missiles, aucune formalité n’est requise!
A quoi servent les armes individuelles quand les plus grands criminels du pays sont a la tete de l'etat, des services dits "securitaires" et des banques ????
Les armes aux mains des civils ne servent jamais à laeur protection , et la plupart du temps les balles atteignent des innocents . Il faut bannir la vente d'armes aux particuliers .
Les armes aux mains des civils ne servent jamais à laeur protection , et la plupart du temps les balles atteignent des innocents . Il faut bannir la vente d'armes aux particuliers .
Les résultats d'un état failli!
On ne va pas vivre comme chez Trump !
"Tout citoyen libanais qui désire détenir une arme dite « légère » et « individuelle » doit obtenir un permis du ministère de la Défense", mais curieusement, pour un canon, un char ou un véhicule lance-missiles, aucune formalité n’est requise!
07 h 25, le 14 mai 2024