Après le gouverneur de la Banque centrale, Riad Salamé, c’est au tour de l’Association des banques du Liban (ABL) de rejeter les accusations de « l’Union contre un Iran nucléaire » (UANI), visant les banques libanaises.
M. Makram Sader, secrétaire général de l’Association des banques du Liban, réfute ainsi « tout lien entre les banques libanaises et iraniennes ». Interrogé par L’Orient-Le Jour, il accuse l’UANI « d’avancer des contre-vérités ». Ce groupe de pression avait accusé les banques libanaises et la Banque centrale de blanchir de l’argent en provenance du Hezbollah et de l’Iran afin de contourner les sanctions financières émises à l’encontre du régime iranien.
Les banques libanaises « solides »
Fustigeant une « campagne » contre le secteur bancaire libanais, M. Sader souligne l’absence de preuves concernant les accusations de l’UANI. Il a rappelé l’action « immédiate et efficace » de la Banque centrale lors de l’affaire de la Lebanese Canadian Bank. Accusée en février 2011 de blanchir de l’argent et d’avoir des liens avec le Hezbollah, la banque a perdu sa licence du marché bancaire puis a été rachetée par la Société générale de banque au Liban.
Déplorant la propagation de mensonges, le secrétaire général de l’Association des banques a dévoilé la rédaction d’une réponse de la part de l’ABL. « Les banques libanaises ont une base solide et bien connue », a ajouté M. Sader. D’après lui, le respect des règles internationales par le secteur bancaire leur permet d’avoir la confiance des pays étrangers, notamment des États-Unis et de l’Europe, conscients de la solidité du système bancaire libanais.
M. Makram Sader, secrétaire général de l’Association des banques du Liban, réfute ainsi « tout lien entre les banques libanaises et iraniennes ». Interrogé par L’Orient-Le Jour, il accuse l’UANI « d’avancer des contre-vérités ». Ce groupe de pression avait accusé les banques libanaises et la Banque centrale de blanchir de l’argent en provenance du Hezbollah et de l’Iran afin de contourner les sanctions financières émises à l’encontre du régime iranien.
Les banques libanaises « solides »
Fustigeant une « campagne » contre le secteur bancaire libanais, M. Sader souligne l’absence de preuves concernant les accusations de l’UANI. Il a rappelé l’action « immédiate et efficace » de la Banque centrale lors de l’affaire de la Lebanese Canadian Bank. Accusée en février 2011 de blanchir de l’argent et d’avoir des liens avec le Hezbollah, la banque a perdu sa licence du marché bancaire puis a été rachetée par la Société générale de banque au Liban.
Déplorant la propagation de mensonges, le secrétaire général de l’Association des banques a dévoilé la rédaction d’une réponse de la part de l’ABL. « Les banques libanaises ont une base solide et bien connue », a ajouté M. Sader. D’après lui, le respect des règles internationales par le secteur bancaire leur permet d’avoir la confiance des pays étrangers, notamment des États-Unis et de l’Europe, conscients de la solidité du système bancaire libanais.
Après le gouverneur de la Banque centrale, Riad Salamé, c’est au tour de l’Association des banques du Liban (ABL) de rejeter les accusations de « l’Union contre un Iran nucléaire » (UANI), visant les banques libanaises.M. Makram Sader, secrétaire général de l’Association des banques du Liban, réfute ainsi « tout lien entre les banques libanaises et iraniennes ». Interrogé...