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Économie

Quotas de Saoudiens

« Le défi est comment trouver des emplois pour les Saoudiens dans le secteur privé, car on doit créer trois millions de postes d’ici à 2015 et six millions avant 2030 », avait souligné en janvier le ministre du Travail Adel Faqih.
La main-d’œuvre saoudienne est forte, a-t-il indiqué, de quatre millions d’actifs alors que quelque deux millions sont à la recherche d’un emploi.


Sous un autre programme destiné à inciter les firmes locales à recruter des Saoudiens, le ministère a imposé l’année dernière un système de quotas limitant le nombre d’employés étrangers.
Les banques de plus de 500 employés doivent par exemple avoir un quota de 49 % de Saoudiens, alors qu’un quota de 19 % de Saoudiens est imposé aux commerces de gros, aux médias, aux assurances et aux établissements publics d’enseignement.


Des chiffres officiels montrent que le taux de chômage atteint 30 % chez les femmes, qui souffrent de restrictions sur le marché de l’emploi dans un pays ultraconservateur qui interdit la mixité sur les lieux de travail.
Au total, un million de Saoudiennes sont à la recherche d’un emploi, dont 373 000 ayant un diplôme universitaire.

« Le défi est comment trouver des emplois pour les Saoudiens dans le secteur privé, car on doit créer trois millions de postes d’ici à 2015 et six millions avant 2030 », avait souligné en janvier le ministre du Travail Adel Faqih.La main-d’œuvre saoudienne est forte, a-t-il indiqué, de quatre millions d’actifs alors que quelque deux millions sont à la recherche d’un...
commentaires (2)

Que les fortunes acquises, et à acquérir, l'on ne sait comment, par une poignée définie, reviennent à l'Etat et elles créeraient des emplois pour des millénaires à venir.

SAKR LEBNAN

11 h 28, le 02 juillet 2012

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Commentaires (2)

  • Que les fortunes acquises, et à acquérir, l'on ne sait comment, par une poignée définie, reviennent à l'Etat et elles créeraient des emplois pour des millénaires à venir.

    SAKR LEBNAN

    11 h 28, le 02 juillet 2012

  • oui, mes ces jeunes voudront-ils travailler, dans des métiers, qui sont occupés par des travailleurs immigrés ? Je ne pense qu'ils feront les balayeurs, les éboueurs, serveurs ou à la plonge ? Comme tout les jeunes du monde entier, ils veulent du travail bien payé, et pas "trop salissant"

    Talaat Dominique

    04 h 07, le 02 juillet 2012

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