Lors d’un autre point de presse, le porte-parole du TSL, Marten Youssef, a passé en revue les principaux points soulevés par la chambre de première instance dans sa décision rendue en vue d’engager un procès par défaut pour juger les quatre accusés dans l’affaire de l’assassinat de Rafic Hariri.
Le porte-parole a ainsi insisté sur les arguments principaux avancés par la chambre de première instance pour motiver sa décision, notamment le fait que depuis que l’acte d’accusation a été rendu public, il a suffisamment bénéficié de couverture et de publicité à cette fin. Les juges ont également relevé que toutes les mesures possibles envisagées par la loi ont été prises par les autorités libanaises, soulignant le fait que six rapports ont déjà été soumis par le procureur libanais sur ces tentatives de recherches des accusés. La chambre a ainsi conclu que des mesures raisonnables ont été prises dans ce sens et qu’elle a pris en même temps en considération « la situation délicate » qui prévaut au Liban.
M. Youssef a passé en revue les différentes étapes de la procédure qui suivra cette décision, rappelant notamment qu’il faudra pas moins de quatre mois au bureau de la défense pour revoir le dossier qui lui sera remis par le procureur. C’est également l’occasion pour la défense d’entamer son enquête et d’envisager d’autres scénarios que celui du procureur, a-t-il dit.
Évoquant les mesures de protection qui pourraient être prises à l’égard des victimes, M. Youssef a expliqué que les noms des témoins seront revus un par un, avant de décider quels sont les noms qui seront expurgés et ceux qui seront révélés à la défense. Avant de prendre une telle décision, le juge de la mise en état devra toutefois entendre les demandes formulées par la défense à ce sujet.
Interrogé sur les mesures prises en vue de nommer le successeur du procureur, Daniel Bellemare, dont le mandat expire dans 27 jours, M. Youssef a précisé que la procédure « est en cours ».
Le porte-parole a ainsi insisté sur les arguments principaux avancés par la chambre de première instance pour motiver sa décision, notamment le fait que depuis que l’acte d’accusation a été rendu public, il a suffisamment bénéficié de couverture et de publicité à cette fin. Les juges ont également relevé que toutes les mesures possibles envisagées par la loi ont été prises par les autorités libanaises, soulignant le fait que six rapports ont déjà été soumis par le procureur libanais sur ces tentatives de recherches des accusés. La chambre a ainsi conclu que des mesures raisonnables ont été prises dans ce sens et qu’elle a pris en même temps en considération « la situation délicate » qui prévaut au Liban.
M. Youssef a passé en revue les différentes étapes de la procédure qui suivra cette décision, rappelant notamment qu’il faudra pas moins de quatre mois au bureau de la défense pour revoir le dossier qui lui sera remis par le procureur. C’est également l’occasion pour la défense d’entamer son enquête et d’envisager d’autres scénarios que celui du procureur, a-t-il dit.
Évoquant les mesures de protection qui pourraient être prises à l’égard des victimes, M. Youssef a expliqué que les noms des témoins seront revus un par un, avant de décider quels sont les noms qui seront expurgés et ceux qui seront révélés à la défense. Avant de prendre une telle décision, le juge de la mise en état devra toutefois entendre les demandes formulées par la défense à ce sujet.
Interrogé sur les mesures prises en vue de nommer le successeur du procureur, Daniel Bellemare, dont le mandat expire dans 27 jours, M. Youssef a précisé que la procédure « est en cours ».
Lors d’un autre point de presse, le porte-parole du TSL, Marten Youssef, a passé en revue les principaux points soulevés par la chambre de première instance dans sa décision rendue en vue d’engager un procès par défaut pour juger les quatre accusés dans l’affaire de l’assassinat de Rafic Hariri.Le porte-parole a ainsi insisté sur les arguments principaux avancés par la chambre de...
Merci de publié car la l'argument concerné est bloqué! --- Le Hezb par l'insigne personne de son secrétaire général a déjà fourni PUBLIQUEMENT en guise "d'amicus curiae" a qui voulais l'entendre la plupart des preuves qu'il a à disposition et a affirmé qu'il les remettrait aux seuls autorités Libanaises si elle le lui demandait... mais personne ne les a pris en considération et n'a, ne serait-ce que pour la forme (ya 3ammé), enquêter dans cette direction, il ne maquait plus que les preuves comme le survol de l'avion espion Awacs lors de l'assassinat de notre ex PM, d'où le refus total mais que compréhensible de collaborer de la part du Hezb.... Bref, si il y en a encore qui veulent jouer au plus c.., eh bien...je leur dis sincères congratulations... ils ont gagné d'avance!
05 h 23, le 04 février 2012