L’affaire de Arida et les déclarations du chef de la brigade al-Qods sont suffisamment graves pour justifier une réunion extraordinaire du Conseil des ministres, dans la mesure où dans les deux cas, il s’agit d’un coup porté à la souveraineté libanaise, selon les députés Atef Majdalani et Mohammad Kabbani.
« Nous ne demanderons pas au Hezbollah de réagir aux propos du général Kassem Suleimani, parce que la seule réaction acceptable est qu’il remette ses armes aux autorités. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’il pourra convaincre les Libanais de son engagement en faveur de l’État seulement », a indiqué M. Majdalani dans une déclaration.
Il a mis l’accent sur la responsabilité du Premier ministre, Nagib Mikati, « qui se doit de réagir et de prendre la position qui s’impose face aux agressions dont le Liban est la cible », avant de s’étonner de ce que le gouvernement n’ait toujours pas convoqué les ambassadeurs de Syrie et d’Iran pour leur demander des explications à ce sujet. Mais même cette mesure n’est plus suffisante aujourd’hui, selon M. Majdalani, qui estime que le gouvernement doit se saisir des deux affaires et décider « soit d’adresser un avertissement aux deux États, soit de rompre ses rapports avec eux, soit de soumettre une plainte aux instances arabes et internationales ».
Abondant dans le même sens, M. Kabbani a estimé que le gouvernement « se doit d’honorer le minimum de ses obligations en protégeant ses citoyens et la souveraineté libanaise, même si sa mise en place a pu être possibe grâce à une couverture irano-syrienne ».
« Nous ne demanderons pas au Hezbollah de réagir aux propos du général Kassem Suleimani, parce que la seule réaction acceptable est qu’il remette ses armes aux autorités. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’il pourra convaincre les Libanais de son engagement en faveur de l’État seulement », a indiqué M. Majdalani dans une déclaration.
Il a mis l’accent sur la responsabilité du Premier ministre, Nagib Mikati, « qui se doit de réagir et de prendre la position qui s’impose face aux agressions dont le Liban est la cible », avant de s’étonner de ce que le gouvernement n’ait toujours pas convoqué les ambassadeurs de Syrie et d’Iran pour leur demander des explications à ce sujet. Mais même cette mesure n’est plus suffisante aujourd’hui, selon M. Majdalani, qui estime que le gouvernement doit se saisir des deux affaires et décider « soit d’adresser un avertissement aux deux États, soit de rompre ses rapports avec eux, soit de soumettre une plainte aux instances arabes et internationales ».
Abondant dans le même sens, M. Kabbani a estimé que le gouvernement « se doit d’honorer le minimum de ses obligations en protégeant ses citoyens et la souveraineté libanaise, même si sa mise en place a pu être possibe grâce à une couverture irano-syrienne ».
L’affaire de Arida et les déclarations du chef de la brigade al-Qods sont suffisamment graves pour justifier une réunion extraordinaire du Conseil des ministres, dans la mesure où dans les deux cas, il s’agit d’un coup porté à la souveraineté libanaise, selon les députés Atef Majdalani et Mohammad Kabbani.« Nous ne demanderons pas au Hezbollah de réagir aux propos du général...
commentaires (1)
On l'a echappe belle, il aurait pu demander une declaration de guerre a l'Iran et a la Syrie, vu que ses protecteurs ne peuvent pas le faire. soyons serieux, Moussaoui a calmement repondu, c'est de l'intox qu'un illumine de pasdaran a voulu sortir dans la guerre psychologique entre son pays et les racistes usurpateurs de terre. Il n'y aura pas de guerre ni entre eux ni par nous interpose.Allez voir ce matin a Nabatieh, c'est jour de marche, les odeurs de manahich se melent au michoui sous bonne surveillance de la frontiere par les forces de la resistance a l'envahisseyr/predateur.
Jaber Kamel
07 h 27, le 23 janvier 2012