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Nos Lecteurs ont la Parole

Les lecteurs ont voix au chapitre

Ces chauffards en liberté

La limitation de vitesse obligatoire et contrôlée par radar est peu suivie, car pas ou peu de sanctions et, s’il y en a, elles ne sont pas assez coercitives.
Pour les voitures de tourisme et les 4 x 4, la sanction est auto-infligée, allant de l’hôpital à l’invalidité et, parfois, à la mort.... Ce qui soustrait ces énergumènes à la circulation. C’est du positif !
Mais que dire des camions-citernes et des camions tout court, conduits par une faune au niveau intellectuel bien en deçà de celui des humains ?
Ils roulent à tombeau ouvert, ne ralentissant pas aux tournants, fauchant voitures et occupants au passage, avec des machines souvent défaillantes.
Ils se renversent, souillant la chaussée de leur cargaison, bloquent la route, empêchant ainsi de nombreux usagers d’arriver à leur travail.
Le conducteur s’évanouit dans la nature.
Pourquoi, une fois ce chauffard retrouvé sain et sauf, ce qui est souvent le cas, ne pas lui retirer définitivement son permis de conduire et le séquestrer le plus longtemps possible, afin que son évolution mentale devienne digne d’un bipède ?

Paul HADDAD

Ahurissantes contradictions

La majorité actuelle et les leaders du 8 Mars continuent à patauger dans des contradictions ahurissantes, depuis la formation du gouvernement Mikati. Et depuis, rien ne va plus dans tous les domaines, politique et économique, qui, paralysés, ont mené le Liban au bord du gouffre.
Les leaders de la majorité ne cherchent même plus des solutions aux difficultés sociales dont souffre le pays, mais plutôt à profiter du « gâteau », sans penser au bien-être du peuple.
Cette mascarade a trop duré et, malgré ses déboires, la Syrie continue à tirer les ficelles de ses marionnettes au Liban pour des objectifs politiques qui n’ont rien à voir avec le Liban.
L’exemple le plus flagrant, il faut le chercher dans la mise en scène autour de la contribution du Liban au TSL, malgré l’opposition de la majorité. Les arguments avancés par leurs leaders les rendent encore plus ridicules. Si ces messieurs sont contre le paiement de la contribution du Liban au TSL, pourquoi ne présenteraient-ils pas leur démission du gouvernement ?
Ce n’est pas par leurs vociférations, fanfaronnades et déclarations belliqueuses quotidiennes sur les écrans des TV qu’ils gagneront la confiance du peuple et sauveront le Liban.

Hratch TOURIKIAN

On n’est jamais
mieux servi...

M. Chant Chinchinian, député, a conseillé aux femmes de s’impliquer dans la politique pour pouvoir figurer aux premiers rangs quand il s’agit de légiférer dans les domaines qui les concernent, et ce, à l’occasion de la polémique sur le projet de loi concernant la violence domestique à l’encontre des femmes.
En cela, il se trouve qu’il a entièrement raison.
Les Libanaises, majoritaires dans les universités et aux premières places dans les concours de recrutement administratif, sont légion dans la magistrature mais quasiment absentes de l’arène politique. Cela n’est pas dû uniquement à une tradition machiste, mais peut-être aussi à un sentiment de répulsion de la Libanaise face à la violence verbale qui sévit dans ce milieu. Mais il est vraiment temps de se lancer. On nous dit souvent que, confiées à des femmes, les lois concernant la santé, l’environnement, la justice même et surtout les relations internationales seraient plus pointues. Comment y arriver si elles restent à l’écart lors des législatives ? Point n’est besoin de quota, lequel, en quelque sorte, marginalise le groupe censé être favorisé, mais de volonté et de cohérence. Les prochaines élections ne sont pas loin ; allez-y, mesdames, foncez !

Dolly TALHAMÉ

C’est le comble !

Quelle sera la prochaine institution à être visée après celle du sabotage de la centrale électrique de Zahrani qui a plongé dans le noir la majorité de la population ?
Est-il permis de prendre en otages des citoyens en portant atteinte à leur minimum de bien-être ? Il est clair que cette affaire n’est que le reflet des dissensions persistantes entre les différents courants de la scène politique.
Nos dirigeants doivent réagir au plus vite, dans l’unique but d’éviter qu’un tel incident ne se reproduise menaçant les institutions du pays.
Nous vivons des moments délicats face aux remous du monde arabe. Nous devons donc prendre du recul et essayer de nous engager sur la bonne voie. Restons vigilants et évitons le chaos qui menace tous les Libanais sans exception.

Hilda DADOURIAN
Ces chauffards en libertéLa limitation de vitesse obligatoire et contrôlée par radar est peu suivie, car pas ou peu de sanctions et, s’il y en a, elles ne sont pas assez coercitives.Pour les voitures de tourisme et les 4 x 4, la sanction est auto-infligée, allant de l’hôpital à l’invalidité et, parfois, à la mort.... Ce qui soustrait ces énergumènes à la circulation. C’est du...

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