Les départs de Papandréou et Berlusconi n’arrivent pas à juguler la crise
OLJ / le 10 novembre 2011 à 00h02
Les marchés européens puis américains ont très vite renoué hier avec le doute et le pessimisme, s’interrogeant sur la réalité du départ de Silvio Berlusconi et des mesures d’austérité annoncées en Italie. Arne Dedert/AFP
La démission désormais officielle de Georges Papandréou en Grèce et celle, annoncée, de Silvio Berlusconi en Italie n’ont pas suffi, loin s’en faut, à désamorcer la crise dans la zone euro, dont l’éclatement n’est plus un scénario de science-fiction.
La démission désormais officielle de Georges Papandréou en Grèce et celle, annoncée, de Silvio Berlusconi en Italie n’ont pas suffi, loin s’en faut, à désamorcer la crise dans la zone euro, dont l’éclatement n’est plus un scénario de science-fiction.Pas de nouveau Premier ministre en Grèce, avant aujourd’hui... au plus tôtLa démission annoncée de Berlusconi reste...
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