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Cinema- - Carnet morose

Jean-Pierre Goux Pelletan, « A man for all Seasons » *

Dans les couloirs de L'Orient-Le Jour, le bruit a couru. Jean-Pierre Goux Pelletan est décédé en France. « Goux » pour certains, J-P pour d'autres et JPGP pour d'autres encore, pour ma part je ne l'ai pas assez connu pour lui donner un surnom, mais suffisamment pour avoir toute ma vie voulu faire comme lui. Dès mon adolescence, deux personnages m'inspiraient dans les colonnes de L'Orient-Le Jour. Le premier, Samir Nasri, parti très tôt, et Goux Pelletan. Je citais toujours son nom, le prenais en exemple, comme tant de Libanais d'ailleurs. Goux Pelletan a dit ceci, a dit cela. Il pense ceci, pense cela. Plus je voyais les films avec son regard, plus je rêvais d'être critique de films.
Me voilà aujourd'hui installée dans votre page - permettez-moi de vous appeler Goux -, cette page que vous avez longtemps animée, peuplée. Tous les jeudis, j'essaye d'être à la hauteur. À la hauteur d'une pensée bien propre à vous à l'égard du 7e art. À la hauteur de ce legs, si fabuleux, que vous m'avez laissé en héritage.

*Réalisé par Fred Zinnemann en 1966. J'ai choisi ce pseudonyme pour vous. J'espère qu'il vous plaira.
Dans les couloirs de L'Orient-Le Jour, le bruit a couru. Jean-Pierre Goux Pelletan est décédé en France. « Goux » pour certains, J-P pour d'autres et JPGP pour d'autres encore, pour ma part je ne l'ai pas assez connu pour lui donner un surnom, mais suffisamment pour avoir toute ma vie voulu faire comme lui. Dès mon adolescence, deux personnages m'inspiraient dans les colonnes...

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