Des vedettes de la Défense civile effectuant des recherches au large de Arida.
Les recherches menées pour retrouver les trois pêcheurs portés disparus depuis lundi au Akkar ont été interrompues hier en début de soirée. Elles reprendront cependant aujourd'hui, dès 7 heures du matin.
Les pêcheurs, Haïtham Salloum et son fils, Mohammad, et Massoud Iskandar, respectivement des villages frontaliers de Arida et Hakr el-Dahiri au Akkar, avaient appareillé au large du village de Arida lundi dans l'après-midi. Depuis, leur sort est inconnu.
Dès l'annonce de la disparition des trois hommes, des patrouilles des forces maritimes ont été mobilisées pour les rechercher. Celles-ci ont été secondées par un hélicoptère militaire et deux vedettes relevant de l'unité de sauvetage maritime de la Défense civile qui, sur instructions du ministre de l'Intérieur Ziyad Baroud, ont effectué une recherche globale allant de Ras Tabarja à Arida et jusqu'à huit kilomètres des côtes.
À la fin de la première journée, ni la barque des pêcheurs ni leurs corps n'ont été retrouvés.
Des appels ont été lancés à tous les pêcheurs dans la région pour reporter l'existence de tout corps humain dans la mer.
Par ailleurs, hier en journée, des habitants du village de Arida ont coupé la route internationale Liban-Syrie, en signe de protestation contre la disparition des pêcheurs. Ils ont appelé les autorités sécuritaires à utiliser les hélicoptères de l'armée pour élargir le périmètre des recherches afin de retrouver les trois hommes, alors que les autorités syriennes, contactées pour savoir si les disparus avaient été emportés par le courant en dehors des eaux territoriales libanaises, ont affirmé « ne pas avoir des données sur le sujet ».
Les pêcheurs, Haïtham Salloum et son fils, Mohammad, et Massoud Iskandar, respectivement des villages frontaliers de Arida et Hakr el-Dahiri au Akkar, avaient appareillé au large du village de Arida lundi dans l'après-midi. Depuis, leur sort est inconnu.
Dès l'annonce de la disparition des trois hommes, des patrouilles des forces maritimes ont été mobilisées pour les rechercher. Celles-ci ont été secondées par un hélicoptère militaire et deux vedettes relevant de l'unité de sauvetage maritime de la Défense civile qui, sur instructions du ministre de l'Intérieur Ziyad Baroud, ont effectué une recherche globale allant de Ras Tabarja à Arida et jusqu'à huit kilomètres des côtes.
À la fin de la première journée, ni la barque des pêcheurs ni leurs corps n'ont été retrouvés.
Des appels ont été lancés à tous les pêcheurs dans la région pour reporter l'existence de tout corps humain dans la mer.
Par ailleurs, hier en journée, des habitants du village de Arida ont coupé la route internationale Liban-Syrie, en signe de protestation contre la disparition des pêcheurs. Ils ont appelé les autorités sécuritaires à utiliser les hélicoptères de l'armée pour élargir le périmètre des recherches afin de retrouver les trois hommes, alors que les autorités syriennes, contactées pour savoir si les disparus avaient été emportés par le courant en dehors des eaux territoriales libanaises, ont affirmé « ne pas avoir des données sur le sujet ».
Les recherches menées pour retrouver les trois pêcheurs portés disparus depuis lundi au Akkar ont été interrompues hier en début de soirée. Elles reprendront cependant aujourd'hui, dès 7 heures du matin.Les pêcheurs, Haïtham Salloum et son fils, Mohammad, et Massoud Iskandar, respectivement des villages frontaliers de Arida et Hakr el-Dahiri au Akkar, avaient appareillé au large du...