Poignée de main entre le ministre de l’Environnement, Mohammad Rahhal, et le président du conseil municipal de Jbeil, Ziad Hawat, après la signature de l’accord.
Le ministre de l'Environnement, Mohammad Rahhal, et le président de la municipalité de Jbeil, M. Ziad Hawat, ont donné le coup d'envoi des travaux d'aménagement d'un nouvel espace vert en plein Byblos. C'est à proximité de la cité historique, dans les alentours du souk, que le « jardin pilote » occupera l'espace libre appartenant au patriarcat maronite. L'inauguration est prévue au cours du mois de mai prochain.
Le projet a été initié par M. Hawat qui estime sur ce plan qu'« il est primordial pour la ville de Byblos d'aménager un parc public en raison du nombre élevé d'habitants à Jbeil, parallèlement à l'afflux continu de touristes, sans compter l'objectif écologique du projet ».
« C'est grâce au ministre de l'Environnement que nous avons obtenu les moyens financiers pour la location du terrain, qui est le dernier espace libre de la ville, souligne M. Hawat. Nous sommes aussi soutenus par la Banque du Liban qui assure, à travers le ministère, les dépenses pour le jardinage et la structure de cet espace vert. Le coût total de ce projet s'élève à 1 500 000 de dollars. »
Concernant l'organisation du parc, M. Hawat fait état d'une aire de « 12 000 mètres carrés, réservée aux arbres et à divers genres d'activités, et d'un espace de 6 000 m2 consacré au parking ». Il explique dans ce cadre que « l'aménagement d'un jardin couvert d'arbres, de fleurs et de cours d'eau favorise l'intérêt des visiteurs pour la nature, et la construction d'un parking évitera les embouteillages dans les ruelles de la ville ».
« Il est vrai que le pays manque d'espaces verts et de parcs à l'européenne, où les enfants pourraient jouer, les jeunes se promener et les moins jeunes lire et se détendre », ajoute M. Hawat. C'est dans ce contexte que le président de la municipalité expose les différentes attractions qui seront organisées dans le parc où un espace de jeu sera installé, de même qu'un club pour les personnes âgées et des maisons à caractère traditionnel en vue de l'enseignement de travaux manuels. « Nous tenons à stimuler la production nationale mais surtout locale, souligne M. Hawat. Avec l'enseignement gratuit de travaux manuels, nous pourrons vendre les produits fabriqués et attirer une vaste clientèle pour écouler les produits "made in Byblos". Nous encourageons aussi la spécialité de la ville, celle de la peinture sur verre, qui sera au premier plan des activités du parc. »
Par ailleurs, pour couvrir les dépenses de l'entretien du jardin, M. Hawat affirme qu' « une étude est en cours pour décider de fixer ou pas un droit d'entrée symbolique au parc, selon que le profit réalisé par les kiosques installés dans cet espace vert couvrira ou pas les dépenses engagées ».
De plus, M. Hawat insiste sur l'importance de cette initiative, évoquant sur ce plan d'autres projets en cours consacrés spécialement à la protection du caractère touristique de la ville et à la création d'autres espaces verts à Byblos, ce qui « pourrait encourager les autres municipalités à s'engager dans des projets garantissant le même objectif de protection de l'environnement pour embellir les espaces libres ».
Pour sa part, le ministère de l'Environnement, par le biais de son soutien à la mise en place de jardins publics, met sur les rails un processus d'éveil à la nature et de conscience environnementale, loin des soucis politico-économiques qui occupent aujourd'hui la scène politique. Reste à savoir dans quelle mesure le citoyen libanais des temps modernes est-il prêt à coopérer avec les institutions en place... Mais « qui ne tente rien n'a rien ! ».
Le projet a été initié par M. Hawat qui estime sur ce plan qu'« il est primordial pour la ville de Byblos d'aménager un parc public en raison du nombre élevé d'habitants à Jbeil, parallèlement à l'afflux continu de touristes, sans compter l'objectif écologique du projet ».
« C'est grâce au ministre de l'Environnement que nous avons obtenu les moyens financiers pour la location du terrain, qui est le dernier espace libre de la ville, souligne M. Hawat. Nous sommes aussi soutenus par la Banque du Liban qui assure, à travers le ministère, les dépenses pour le jardinage et la structure de cet espace vert. Le coût total de ce projet s'élève à 1 500 000 de dollars. »
Concernant l'organisation du parc, M. Hawat fait état d'une aire de « 12 000 mètres carrés, réservée aux arbres et à divers genres d'activités, et d'un espace de 6 000 m2 consacré au parking ». Il explique dans ce cadre que « l'aménagement d'un jardin couvert d'arbres, de fleurs et de cours d'eau favorise l'intérêt des visiteurs pour la nature, et la construction d'un parking évitera les embouteillages dans les ruelles de la ville ».
« Il est vrai que le pays manque d'espaces verts et de parcs à l'européenne, où les enfants pourraient jouer, les jeunes se promener et les moins jeunes lire et se détendre », ajoute M. Hawat. C'est dans ce contexte que le président de la municipalité expose les différentes attractions qui seront organisées dans le parc où un espace de jeu sera installé, de même qu'un club pour les personnes âgées et des maisons à caractère traditionnel en vue de l'enseignement de travaux manuels. « Nous tenons à stimuler la production nationale mais surtout locale, souligne M. Hawat. Avec l'enseignement gratuit de travaux manuels, nous pourrons vendre les produits fabriqués et attirer une vaste clientèle pour écouler les produits "made in Byblos". Nous encourageons aussi la spécialité de la ville, celle de la peinture sur verre, qui sera au premier plan des activités du parc. »
Par ailleurs, pour couvrir les dépenses de l'entretien du jardin, M. Hawat affirme qu' « une étude est en cours pour décider de fixer ou pas un droit d'entrée symbolique au parc, selon que le profit réalisé par les kiosques installés dans cet espace vert couvrira ou pas les dépenses engagées ».
De plus, M. Hawat insiste sur l'importance de cette initiative, évoquant sur ce plan d'autres projets en cours consacrés spécialement à la protection du caractère touristique de la ville et à la création d'autres espaces verts à Byblos, ce qui « pourrait encourager les autres municipalités à s'engager dans des projets garantissant le même objectif de protection de l'environnement pour embellir les espaces libres ».
Pour sa part, le ministère de l'Environnement, par le biais de son soutien à la mise en place de jardins publics, met sur les rails un processus d'éveil à la nature et de conscience environnementale, loin des soucis politico-économiques qui occupent aujourd'hui la scène politique. Reste à savoir dans quelle mesure le citoyen libanais des temps modernes est-il prêt à coopérer avec les institutions en place... Mais « qui ne tente rien n'a rien ! ».
Le ministre de l'Environnement, Mohammad Rahhal, et le président de la municipalité de Jbeil, M. Ziad Hawat, ont donné le coup d'envoi des travaux d'aménagement d'un nouvel espace vert en plein Byblos. C'est à proximité de la cité historique, dans les alentours du souk, que le « jardin pilote » occupera l'espace libre...
