L'ancien directeur de la Sûreté générale, le général Jamil Sayyed, a réagi hier aux informations de presse relatives à la polémique suscitée dimanche au cours de l'entrevue qu'il a accordée à la NTV sur l'affaire des faux témoins.
Dans un communiqué, l'ancien officier explique en détail les circonstances qui avaient précédé l'entretien télévisé, soulignant qu'à la veille de sa diffusion, il s'était réuni avec la directrice des informations et des programmes politiques, Mariam Bassam, et le présentateur, Georges Salibi, pour convenir de plusieurs points relatifs au déroulement de l'émission, notamment le fait qu'il n'y ait aucune intervention externe lors de l'entretien de la part de personnes qui n'ont aucun lien direct avec le dossier des « faux témoins », nommément, le député Okab Sakr et le chef des FL Samir Geagea, à moins qu'elle ne provienne de personnes directement concernées, tels que le procureur, Saïd Mirza, ou le chef des services de renseignements des FSI, le colonel Wissam Hassan. M. Sayyed s'était engagé de son côté à répondre à toutes les questions qui lui seraient adressées lors de la rencontre.
Or, poursuit le communiqué, l'ancien officier a été surpris d'apprendre, le jour même de la diffusion de l'émission, que le présentateur, George Salibi, avait entre-temps enregistré une intervention du député Okab Sakr, pour la diffuser lors de l'émission. M. Sayyed a alors appelé la chaîne concernée pour les prévenir qu'il renonçait à l'entrevue dans la mesure où l'accord conclu à l'amiable entre les parties avait été violé.
L'émission a fini par avoir lieu, dans les conditions préalables sur lesquelles s'étaient entendues les deux parties, à savoir qu'il n'y aura pas d'intervention extérieure. Le communiqué poursuit en expliquant que trois minutes avant la fin de l'émission, M. Salibi a décidé de lui poser deux questions qui n'étaient pas en relation avec le sujet, à savoir les pratiques du régime sécuritaire précédent, et l'injustice dont on souffert certains citoyens, ainsi qu'une question sur les biens de M. Sayyed.
« En dépit du peu de temps dont disposait l'interviewé pour répondre à ces questions, et malgré l'insistance de M. Salibi à vouloir l'interrompre régulièrement, M. Sayyed a tenté de répondre en toute objectivité et politesse à ces deux questions, durant le laps de temps relativement court qui lui était imparti », précise le communiqué, qui souligne que cet intermède a été perçu comme s'il était demandé de parasiter l'émission et de semer la confusion dans l'esprit des gens.
Dans un communiqué, l'ancien officier explique en détail les circonstances qui avaient précédé l'entretien télévisé, soulignant qu'à la veille de sa diffusion, il s'était réuni avec la directrice des informations et des programmes politiques, Mariam Bassam, et le présentateur, Georges Salibi, pour convenir de plusieurs points relatifs au déroulement de l'émission, notamment le fait qu'il n'y ait aucune intervention externe lors de l'entretien de la part de personnes qui n'ont aucun lien direct avec le dossier des « faux témoins », nommément, le député Okab Sakr et le chef des FL Samir Geagea, à moins qu'elle ne provienne de personnes directement concernées, tels que le procureur, Saïd Mirza, ou le chef des services de renseignements des FSI, le colonel Wissam Hassan. M. Sayyed s'était engagé de son côté à répondre à toutes les questions qui lui seraient adressées lors de la rencontre.
Or, poursuit le communiqué, l'ancien officier a été surpris d'apprendre, le jour même de la diffusion de l'émission, que le présentateur, George Salibi, avait entre-temps enregistré une intervention du député Okab Sakr, pour la diffuser lors de l'émission. M. Sayyed a alors appelé la chaîne concernée pour les prévenir qu'il renonçait à l'entrevue dans la mesure où l'accord conclu à l'amiable entre les parties avait été violé.
L'émission a fini par avoir lieu, dans les conditions préalables sur lesquelles s'étaient entendues les deux parties, à savoir qu'il n'y aura pas d'intervention extérieure. Le communiqué poursuit en expliquant que trois minutes avant la fin de l'émission, M. Salibi a décidé de lui poser deux questions qui n'étaient pas en relation avec le sujet, à savoir les pratiques du régime sécuritaire précédent, et l'injustice dont on souffert certains citoyens, ainsi qu'une question sur les biens de M. Sayyed.
« En dépit du peu de temps dont disposait l'interviewé pour répondre à ces questions, et malgré l'insistance de M. Salibi à vouloir l'interrompre régulièrement, M. Sayyed a tenté de répondre en toute objectivité et politesse à ces deux questions, durant le laps de temps relativement court qui lui était imparti », précise le communiqué, qui souligne que cet intermède a été perçu comme s'il était demandé de parasiter l'émission et de semer la confusion dans l'esprit des gens.
L'ancien directeur de la Sûreté générale, le général Jamil Sayyed, a réagi hier aux informations de presse relatives à la polémique suscitée dimanche au cours de l'entrevue qu'il a accordée à la NTV sur l'affaire des faux témoins.Dans un communiqué, l'ancien officier explique en détail les...
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