Le PDG de Boucheron,Jean-Christophe Bédos,a mis l'accent sur lestyle « très affirmé »de la marque.
C'est un espace de 55 mètres carrés, fidèle à l'atmosphère du 26 place Vendôme, que s'est frayée la marque Boucheron dans le Souk des bijoutiers, aux côtés d'autres enseignes prestigieuses de l'horlogerie, de la joaillerie et du luxe avec un grand « L ». À l'origine de cette initiative, les efforts communs de Boucheron, maison française de haute joaillerie fondée en 1858, et de la société Romance, distributeur de produits de luxe et membre du groupe Khalil Fattal et Fils.
La Maison Boucheron, présente depuis 20 ans au Liban à travers un réseau de distributeurs, un point de vente dans un des grands magasins de la ville, et un magasin qui avait fermé ses portes au milieu des années 90, a désormais sa propre enseigne à Beyrouth.
« Nous avions la volonté de revenir à Beyrouth », a indiqué à L'Orient-Le Jour Jean-Christophe Bédos, président directeur général de Boucheron, qui souligne « l'intérêt historique des Libanais pour les grandes marques ». Le président de Boucheron tient à souligner la valeur symbolique de l'emplacement de la nouvelle boutique, « symbole de reconstruction et de confiance dans l'avenir », mais aussi de la position géographique du pays, qui lui permet de jouir « d'un brassage d'intérêts, de cultures et de populations ». Autant de facteurs qui favorisent les échanges.
Car avant tout, la Maison Boucheron c'est la sacralisation des échanges, puisque « la plupart des achats sont destinés à être offerts », souligne Jean-Christophe Bédos. Célébrer des occasions, des partenaires, des évènements en (s')offrant un objet estampillé du fameux « B », vieux de 150 ans : c'est ce que cherchent les responsables de la marque mythique à faire perpétuer, au travers des 50 boutiques disséminées à travers le globe.
Chez Boucheron, on ne dévoile pas de chiffres. C'est que dans ce temple de la joaillerie, de la haute joaillerie et de la joaillerie sur mesure, l'exercice financier est aussi secret que le savoir-faire. Nous savons cependant que la Maison Boucheron est, depuis l'an 2000, filiale du Gucci Group, un des portefeuilles du groupe Pinault-Printemps-Redoute (PPR), dont les revenus en 2009 se sont élevés à 16,5 milliards d'euros. Jean-Christophe Bédos concède cependant que les chiffres de la marque « ne montrent pas qu'il y a eu une crise ». Il indique même que certaines personnes ont eu besoin de sécuriser leurs placements en ayant recours à des comportements de type refuge : c'est-à-dire acheter des matériaux précieux signés de grandes maisons. Le PDG de la Maison Boucheron tient cependant à préciser qu'on ne peut parler de spéculation dans ce cas de figure.
179 rue Weygand, c'est la nouvelle adresse du luxe : à ajouter à toutes celles qui contribuent à redorer (littéralement) le blason beyrouthin.
La Maison Boucheron, présente depuis 20 ans au Liban à travers un réseau de distributeurs, un point de vente dans un des grands magasins de la ville, et un magasin qui avait fermé ses portes au milieu des années 90, a désormais sa propre enseigne à Beyrouth.
« Nous avions la volonté de revenir à Beyrouth », a indiqué à L'Orient-Le Jour Jean-Christophe Bédos, président directeur général de Boucheron, qui souligne « l'intérêt historique des Libanais pour les grandes marques ». Le président de Boucheron tient à souligner la valeur symbolique de l'emplacement de la nouvelle boutique, « symbole de reconstruction et de confiance dans l'avenir », mais aussi de la position géographique du pays, qui lui permet de jouir « d'un brassage d'intérêts, de cultures et de populations ». Autant de facteurs qui favorisent les échanges.
Car avant tout, la Maison Boucheron c'est la sacralisation des échanges, puisque « la plupart des achats sont destinés à être offerts », souligne Jean-Christophe Bédos. Célébrer des occasions, des partenaires, des évènements en (s')offrant un objet estampillé du fameux « B », vieux de 150 ans : c'est ce que cherchent les responsables de la marque mythique à faire perpétuer, au travers des 50 boutiques disséminées à travers le globe.
Chez Boucheron, on ne dévoile pas de chiffres. C'est que dans ce temple de la joaillerie, de la haute joaillerie et de la joaillerie sur mesure, l'exercice financier est aussi secret que le savoir-faire. Nous savons cependant que la Maison Boucheron est, depuis l'an 2000, filiale du Gucci Group, un des portefeuilles du groupe Pinault-Printemps-Redoute (PPR), dont les revenus en 2009 se sont élevés à 16,5 milliards d'euros. Jean-Christophe Bédos concède cependant que les chiffres de la marque « ne montrent pas qu'il y a eu une crise ». Il indique même que certaines personnes ont eu besoin de sécuriser leurs placements en ayant recours à des comportements de type refuge : c'est-à-dire acheter des matériaux précieux signés de grandes maisons. Le PDG de la Maison Boucheron tient cependant à préciser qu'on ne peut parler de spéculation dans ce cas de figure.
179 rue Weygand, c'est la nouvelle adresse du luxe : à ajouter à toutes celles qui contribuent à redorer (littéralement) le blason beyrouthin.
C'est un espace de 55 mètres carrés, fidèle à l'atmosphère du 26 place Vendôme, que s'est frayée la marque Boucheron dans le Souk des bijoutiers, aux côtés d'autres enseignes prestigieuses de l'horlogerie, de la joaillerie et du luxe avec un grand « L ». À l'origine de cette initiative, les efforts communs...