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Quel sport pour quel enfant ?
Natation, tennis, athlétisme, judo... Votre petit veut et doit faire du sport. Mais comment orienter vos choix ?
Les sports collectifs, naturellement, faciliteront ses premiers pas dans la vie en groupe, rapporte l'agence Destination santé. Quant aux sports individuels, chacun présente des avantages propres. La gymnastique, par exemple, lui fera travailler sa souplesse...
En observant quelques principes généraux, vous l'aiderez à se sentir bien dans son activité. D'abord, laissez-le choisir son sport. C'est essentiel, et vous préserverez ainsi sa motivation. Incitez-le à panacher les disciplines. L'alternance entre sports collectifs et individuels lui permettra de se confronter aux victoires et défaites, seul ou en groupe. Il est important également que l'activité sportive reste un jeu, et que votre enfant y prenne du plaisir. Ne lui imposez pas, par exemple, de participer à des compétitions s'il n'en éprouve pas l'envie.
Quand commencer ? Dès la maternelle, c'est-à-dire vers 2 ans, vous pourrez l'initier à la gymnastique. De 6 à 12 ans, il pourra se lancer dans l'apprentissage d'un sport en particulier : art martial, tennis, football, équitation... Ensuite, et jusqu'à 15 ans, c'est-à-dire en pleine puberté, votre enfant aura besoin de se dépenser davantage. La pratique deviendra ainsi plus intense.

L'exercice physique réduirait la prédisposition génétique à l'obésité
L'exercice physique réduirait jusqu'à 40 % en moyenne l'effet de la prédisposition génétique à l'obésité, selon une étude de chercheurs britanniques parue dans la publication américaine Public Library of Science (PLoS).
Les auteurs des travaux ont examiné plusieurs variations génétiques connues pour accroître le risque d'obésité chez un groupe de 20 430 personnes vivant à Norwich en Grande-Bretagne. Ils ont ensuite testé le nombre de ces mutations qu'avaient reçues de leurs parents les personnes interrogées. Il s'est avéré que la plupart d'entre elles avaient hérité de 10 à 13 de ces variations génétiques. Les chercheurs ont également mesuré le degré d'activité physique de chacun des participants. Ils ont ainsi pu établir un lien entre le nombre de variations génétiques prédisposant à l'obésité et l'indice de masse corporelle (le poids divisé par le carré de la taille).
De cette façon, les chercheurs ont pu déterminer si un mode de vie actif atténuait l'influence génétique sur l'IMC et le risque d'obésité.
Ils ont constaté que pour chaque variation génétique prédisposant à l'excès de poids, il y avait un accroissement de l'IMC équivalent à 445 grammes chez une personne mesurant 1,70 mètre.
Chez les individus faisant le plus d'activité physique, le gain de poids n'a été que de 379 grammes par variante génétique, contre 592 grammes chez les sujets totalement sédentaires. Les chercheurs ont calculé que chaque variante génétique supplémentaire multipliait le risque d'obésité par 1,1 fois. Mais chez les plus actifs, ce risque est inférieur de 40 %.

Identification d'une protéine qui combat le virus du Nil occidental
Des chercheurs américains (l'Université de Yale) et canadiens (McGill) ont identifié une protéine qui joue un rôle déterminant contre l'infection par le virus du Nil occidental chez la souris et qui pourrait trouver des applications pour contrôler cette maladie virale potentiellement mortelle chez l'homme.
Les chercheurs, dont l'étude est publiée en ligne dans la revue spécialisée Nature Immunology, ont étudié le rôle d'une enzyme, la protéine « caspase-12 », qui active la sécrétion par l'organisme de substances qui font partie des réactions de défense immunitaire contre les agents infectieux.
La fonction de cette protéine pour combattre des infections bactériennes a déjà été étudié, mais pas dans le cas d'une infection virale. La protéine « caspase-12 » intervient dans la capacité du système immunitaire à détecter l'infection virale en reconnaissant ses composants génétiques. Ce mode de reconnaissance est indispensable pour provoquer une contre-attaque face au virus du Nil occidental (West Nile virus).
« Les souris dénuées de la protéine caspase-12 protéine meurent plus vite de l'infection par le virus du Nil occidental et ont des niveaux de virus sanguins plus élevés que les souris normales », explique le professeur d'épidémiologie Erol Fikrig (Yale et Institut médical Howard Hughes), coauteur de l'étude.
« Nos résultats préparent le terrain pour développer des composés pharmacologiques susceptibles de doper l'activité de la caspase-12 afin de favoriser l'élimination du virus, estime la professeure Maya Saleh de l'université McGill. Ces résultats ont un potentiel significatif pour être traduits en thérapies. »
Quel sport pour quel enfant ?Natation, tennis, athlétisme, judo... Votre petit veut et doit faire du sport. Mais comment orienter vos choix ?Les sports collectifs, naturellement, faciliteront ses premiers pas dans la vie en groupe, rapporte l'agence Destination santé. Quant aux sports individuels, chacun présente des avantages propres. La gymnastique, par exemple, lui fera...

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