À 16h00 GMT, le Bund allemand à 10 ans, qui sert de référence en Europe, reculait à 2,539 % contre 2,573 % vendredi soir. Il évoluait ainsi près de ses plus bas historiques, signe de sa forte attractivité.
Le rendement de l'OAT française reculait de son côté à 2,923 % contre 2,973 % vendredi et celui du Gilt britannique à 3,313 % contre 3,346 % la veille.
Seul titre à souffrir sur le marché obligataire européen, les obligations espagnoles ont vu leur rendement grimper à 4,604 % contre 4,513 % vendredi soir.
Après avoir réalisé avec succès une émission obligataire à 5 ans la semaine passée, Madrid devrait revenir sur le marché avec un nouveau 10 ans qui sera lancé sous forme de syndication (avec un syndicat de banques, ndlr), a indiqué Cyril Regnat, stratégiste obligataire chez Natixis.
« Il n'y a pas de date. Cette opération sera lancée selon les conditions de marché », a-t-il affirmé, même si les Espagnols « vont essayer de venir assez tôt sur le marché - potentiellement cette semaine - afin d'éviter tout embouteillage », selon lui. Madrid doit emprunter du 15 ans le 15 juillet.
Cette nouvelle ligne à 10 ans pourrait être l'occasion de lever entre 5 et 6 milliards d'euros, a estimé le stratégiste.
« C'est vraiment un mois critique pour la dette espagnole », a confirmé M. Regnat, rappelant que le 23 juillet, doivent être publiés les résultats des tests de résistance des banques européennes et que la solidité des établissements espagnols sera surveillée de près. En outre, seize milliards d'euros de titres espagnols arrivent à échéance à la fin du mois.
Sur le reste du marché obligataire, les taux grecs sont restés quasi stables à 10,209 % contre 10,198 % vendredi soir.
Aux États-Unis, le marché obligataire était fermé, tout comme Wall Street.
Sur le marché interbancaire, l'Euribor à échéance trois mois est passé de 0,790 % vendredi à 0,793 % hier, poursuivant sa remontée entamée depuis fin mars, signe des réticences des banques à se prêter entre elles.
Le Libor, taux de référence à échéance trois mois offert à Londres, a reculé de son côté à 0,531 % contre 0,533 % vendredi, pour sa partie libellée en dollars.
Le rendement de l'OAT française reculait de son côté à 2,923 % contre 2,973 % vendredi et celui du Gilt britannique à 3,313 % contre 3,346 % la veille.
Seul titre à souffrir sur le marché obligataire européen, les obligations espagnoles ont vu leur rendement grimper à 4,604 % contre 4,513 % vendredi soir.
Après avoir réalisé avec succès une émission obligataire à 5 ans la semaine passée, Madrid devrait revenir sur le marché avec un nouveau 10 ans qui sera lancé sous forme de syndication (avec un syndicat de banques, ndlr), a indiqué Cyril Regnat, stratégiste obligataire chez Natixis.
« Il n'y a pas de date. Cette opération sera lancée selon les conditions de marché », a-t-il affirmé, même si les Espagnols « vont essayer de venir assez tôt sur le marché - potentiellement cette semaine - afin d'éviter tout embouteillage », selon lui. Madrid doit emprunter du 15 ans le 15 juillet.
Cette nouvelle ligne à 10 ans pourrait être l'occasion de lever entre 5 et 6 milliards d'euros, a estimé le stratégiste.
« C'est vraiment un mois critique pour la dette espagnole », a confirmé M. Regnat, rappelant que le 23 juillet, doivent être publiés les résultats des tests de résistance des banques européennes et que la solidité des établissements espagnols sera surveillée de près. En outre, seize milliards d'euros de titres espagnols arrivent à échéance à la fin du mois.
Sur le reste du marché obligataire, les taux grecs sont restés quasi stables à 10,209 % contre 10,198 % vendredi soir.
Aux États-Unis, le marché obligataire était fermé, tout comme Wall Street.
Sur le marché interbancaire, l'Euribor à échéance trois mois est passé de 0,790 % vendredi à 0,793 % hier, poursuivant sa remontée entamée depuis fin mars, signe des réticences des banques à se prêter entre elles.
Le Libor, taux de référence à échéance trois mois offert à Londres, a reculé de son côté à 0,531 % contre 0,533 % vendredi, pour sa partie libellée en dollars.
À 16h00 GMT, le Bund allemand à 10 ans, qui sert de référence en Europe, reculait à 2,539 % contre 2,573 % vendredi soir. Il évoluait ainsi près de ses plus bas historiques, signe de sa forte attractivité.Le rendement de l'OAT française reculait de son côté à 2,923 % contre 2,973 % vendredi et...