Le Premier ministre Saad Hariri a inauguré hier au BIEL la 53e édition du Salon du livre arabe qui fermera ses portes le 24 décembre.
« Durant les années difficiles, les années d'oppression, de fatigue et de blocus, vous avez donné à Beyrouth la chance de briser le mur du silence, de se débarrasser du carcan des conflits et des luttes intestines. Le Salon du livre arabe donnait aux Libanais de toutes les régions et toutes appartenances politiques confondues l'occasion de renouveler leur confiance dans la capitale et dans son rôle et sa mission culturelle au Moyen-Orient », a indiqué Saad Hariri en s'adressant aux participants.
« Si le Liban a besoin de stabilité, la sagesse des intellectuels et des créateurs devrait la favoriser. Et s'il a besoin d'une force pour libérer son peuple du confessionnalisme et du fanatisme, le Salon du livre devrait être organisé partout dans le pays. Cet évènement représente une richesse culturelle que nous devrons préserver », a-t-il ajouté, insistant sur son importance quant au renforcement de la coexistence.
« Il est inadmissible désormais de dissoudre les capacités humaines et culturelles du Liban dans les impasses confessionnelles », a conclu le Premier ministre.
Signalons qu'étaient notamment présents à l'inauguration l'ancien n° 3 de l'État Fouad Siniora, les ministres de l'InformationTarek Mitri, de la Culture Sélim Wardé et de l'Éducation nationale Hassan Mneimné.
À la fin de la cérémonie, des prix ont été distribués aux meilleurs livres. Le premier prix pour L'Atlas du Liban et du monde, le second pour Les tapis d'Orient et le troisième pour La vie cléricale au Liban à travers l'archéologie.
« Durant les années difficiles, les années d'oppression, de fatigue et de blocus, vous avez donné à Beyrouth la chance de briser le mur du silence, de se débarrasser du carcan des conflits et des luttes intestines. Le Salon du livre arabe donnait aux Libanais de toutes les régions et toutes appartenances politiques confondues l'occasion de renouveler leur confiance dans la capitale et dans son rôle et sa mission culturelle au Moyen-Orient », a indiqué Saad Hariri en s'adressant aux participants.
« Si le Liban a besoin de stabilité, la sagesse des intellectuels et des créateurs devrait la favoriser. Et s'il a besoin d'une force pour libérer son peuple du confessionnalisme et du fanatisme, le Salon du livre devrait être organisé partout dans le pays. Cet évènement représente une richesse culturelle que nous devrons préserver », a-t-il ajouté, insistant sur son importance quant au renforcement de la coexistence.
« Il est inadmissible désormais de dissoudre les capacités humaines et culturelles du Liban dans les impasses confessionnelles », a conclu le Premier ministre.
Signalons qu'étaient notamment présents à l'inauguration l'ancien n° 3 de l'État Fouad Siniora, les ministres de l'InformationTarek Mitri, de la Culture Sélim Wardé et de l'Éducation nationale Hassan Mneimné.
À la fin de la cérémonie, des prix ont été distribués aux meilleurs livres. Le premier prix pour L'Atlas du Liban et du monde, le second pour Les tapis d'Orient et le troisième pour La vie cléricale au Liban à travers l'archéologie.
Le Premier ministre Saad Hariri a inauguré hier au BIEL la 53e édition du Salon du livre arabe qui fermera ses portes le 24 décembre.« Durant les années difficiles, les années d'oppression, de fatigue et de blocus, vous avez donné à Beyrouth la chance de briser le mur du silence, de se débarrasser du carcan des conflits et des...
