Le conglomérat en difficulté Dubai World, qui commence à liquider ses avoirs à l'étranger, affirme avoir des investissements dans plus de cent villes dans le monde. Dubai World indique sur son site Internet que ses investissements couvrent « un large éventail d'industries stratégiques et de secteurs, allant de l'exploitation des ports à l'immobilier en passant par le tourisme, les zones franches et l'aviation ». La branche spécialisée dans l'investissement de Dubai World, Istithmar World, a vendu le luxueux hôtel W qu'elle possède à New York au cours d'une vente aux enchères, a révélé hier le Wall Street Journal.
Istithmar a multiplié depuis sa création en 2003 les acquisitions, dont l'entreprise québécoise de divertissement artistique le Cirque du Soleil ou le paquebot Queen Elizabeth 2 qu'il ambitionnait de transformer en hôtel flottant. Parmi les avoirs du conglomérat public Dubai World figurent également le complexe de golf de Turnberry en Écosse, l'immeuble Metropole à Londres ou la chaîne américaine de luxe Barneys. Dubai World a également financé à hauteur de quatre milliards de dollars un tout nouveau complexe immobilier pharaonique à Las Vegas, CityCenter, qui compte un kilomètre carré et demi d'hôtels, d'immeubles d'habitation, un casino et un centre commercial. La compagnie possède également la chaîne Nakheel Hotels, les centres de tennis Chris Evert et plus de 200 terrains de golf aux États-Unis. Parmi ses investissements figurent en outre la compagnie indienne low-cost SpiceJet, Drydocks World-Singapore et l'ex-compagnie maritime britannique P&O.
Le directeur du département financier de Dubaï, Abdel Rahman al-Saleh, avait affirmé lundi dernier que Dubai World pourrait vendre certains de ses avoirs aux Émirats arabes unis et à l'étranger pour faire face à sa dette.
Istithmar a multiplié depuis sa création en 2003 les acquisitions, dont l'entreprise québécoise de divertissement artistique le Cirque du Soleil ou le paquebot Queen Elizabeth 2 qu'il ambitionnait de transformer en hôtel flottant. Parmi les avoirs du conglomérat public Dubai World figurent également le complexe de golf de Turnberry en Écosse, l'immeuble Metropole à Londres ou la chaîne américaine de luxe Barneys. Dubai World a également financé à hauteur de quatre milliards de dollars un tout nouveau complexe immobilier pharaonique à Las Vegas, CityCenter, qui compte un kilomètre carré et demi d'hôtels, d'immeubles d'habitation, un casino et un centre commercial. La compagnie possède également la chaîne Nakheel Hotels, les centres de tennis Chris Evert et plus de 200 terrains de golf aux États-Unis. Parmi ses investissements figurent en outre la compagnie indienne low-cost SpiceJet, Drydocks World-Singapore et l'ex-compagnie maritime britannique P&O.
Le directeur du département financier de Dubaï, Abdel Rahman al-Saleh, avait affirmé lundi dernier que Dubai World pourrait vendre certains de ses avoirs aux Émirats arabes unis et à l'étranger pour faire face à sa dette.
Le conglomérat en difficulté Dubai World, qui commence à liquider ses avoirs à l'étranger, affirme avoir des investissements dans plus de cent villes dans le monde. Dubai World indique sur son site Internet que ses investissements couvrent « un large éventail d'industries stratégiques et de secteurs, allant de l'exploitation des ports...