Danger à Sin el-Fil
Nous, les étudiants de l'ALBA (Académie libanaise des beaux-arts) Sin el-Fil, désirons dénoncer une situation dangereuse. Traverser la large route face à l'ALBA pour rejoindre nos classes est périlleuse. Nous risquons, chaque matin et soir, et parfois plusieurs fois par jour, d'être heurtés par les voitures qui ne ralentissent pas et d'achever ainsi notre vie entre leurs pneus.
Nous souhaitons par la présente appeler les autorités concernées à agir le plus rapidement possible avant qu'il ne soit trop tard. Pourquoi faut-il des victimes, et surtout de jeunes victimes, avant de se ressaisir et trouver une solution valable ? Il y va de notre sécurité journalière. Prière de prendre en considération notre pétition et d'œuvrer pour pallier cette question vitale. Nous remercions tous ceux qui prendront en considération notre demande.
Neurone sécuritaire primitive ?
En rentrant l'autre jour au Liban sur un vol Air France, quelle ne fut pas ma consternation en entendant le chef de cabine annoncer que, suivant les instructions des services sécuritaires libanais, il est interdit de prendre des photos à partir de l'avion.
Je croyais que les choses avaient changé depuis 2005. Ignore-t-on qu'un gosse de huit ans en surfant sur Google Earth pourrait prendre une photo d'un responsable en flanelle picotée, fumant le narguilé sur son balcon alors que bobonne lui prépare le taboulé ?
Messieurs les Responsables de l'Intérieur et du Tourisme, pensez à l'impact qu'une pareille annonce dans l'avion pourrait avoir sur un touriste s'aventurant chez nous et sur l'image du Liban.
De grâce, agissez, à moins que nous ne soyons de nouveau dans l'aire de la démocratie dictatoriale.
Sarkis EKMEKJIAN
Ceinture et téléphone
Avec tout notre respect pour nos jeunes cinéastes et réalisateurs de feuilletons divers sur nos chaînes locales, il est regrettable de voir de nos jours que certains acteurs sont fiers de bien assumer leur rôle en fumant, histoire, croient-ils, de trouver une issue à une romance vécue ou a un dénouement dans une scène dramatique. D'autres, en conduisant leurs voitures et tout au long des épisodes, ne mettent jamais leur ceinture de sécurité. Désolant aussi de voir nos chauffeurs de taxis-service considérer que cette fameuse ceinture est vieux jeu. Quant au téléphone, fixe ou portable, il ne cesse de faire des ravages lors d'un voyage routier, bien qu'interdit lui aussi, omnitémoin sur nos petits écrans de l'impatience d'une rencontre .
Si le but d'un film est de donner le bon exemple, il est temps, messieurs les Cameramen et Metteurs en scène, de relayer le bon message au peuple.
Rosy SABBAGHA
Nous, les étudiants de l'ALBA (Académie libanaise des beaux-arts) Sin el-Fil, désirons dénoncer une situation dangereuse. Traverser la large route face à l'ALBA pour rejoindre nos classes est périlleuse. Nous risquons, chaque matin et soir, et parfois plusieurs fois par jour, d'être heurtés par les voitures qui ne ralentissent pas et d'achever ainsi notre vie entre leurs pneus.
Nous souhaitons par la présente appeler les autorités concernées à agir le plus rapidement possible avant qu'il ne soit trop tard. Pourquoi faut-il des victimes, et surtout de jeunes victimes, avant de se ressaisir et trouver une solution valable ? Il y va de notre sécurité journalière. Prière de prendre en considération notre pétition et d'œuvrer pour pallier cette question vitale. Nous remercions tous ceux qui prendront en considération notre demande.
Neurone sécuritaire primitive ?
En rentrant l'autre jour au Liban sur un vol Air France, quelle ne fut pas ma consternation en entendant le chef de cabine annoncer que, suivant les instructions des services sécuritaires libanais, il est interdit de prendre des photos à partir de l'avion.
Je croyais que les choses avaient changé depuis 2005. Ignore-t-on qu'un gosse de huit ans en surfant sur Google Earth pourrait prendre une photo d'un responsable en flanelle picotée, fumant le narguilé sur son balcon alors que bobonne lui prépare le taboulé ?
Messieurs les Responsables de l'Intérieur et du Tourisme, pensez à l'impact qu'une pareille annonce dans l'avion pourrait avoir sur un touriste s'aventurant chez nous et sur l'image du Liban.
De grâce, agissez, à moins que nous ne soyons de nouveau dans l'aire de la démocratie dictatoriale.
Sarkis EKMEKJIAN
Ceinture et téléphone
Avec tout notre respect pour nos jeunes cinéastes et réalisateurs de feuilletons divers sur nos chaînes locales, il est regrettable de voir de nos jours que certains acteurs sont fiers de bien assumer leur rôle en fumant, histoire, croient-ils, de trouver une issue à une romance vécue ou a un dénouement dans une scène dramatique. D'autres, en conduisant leurs voitures et tout au long des épisodes, ne mettent jamais leur ceinture de sécurité. Désolant aussi de voir nos chauffeurs de taxis-service considérer que cette fameuse ceinture est vieux jeu. Quant au téléphone, fixe ou portable, il ne cesse de faire des ravages lors d'un voyage routier, bien qu'interdit lui aussi, omnitémoin sur nos petits écrans de l'impatience d'une rencontre .
Si le but d'un film est de donner le bon exemple, il est temps, messieurs les Cameramen et Metteurs en scène, de relayer le bon message au peuple.
Rosy SABBAGHA
Danger à Sin el-FilNous, les étudiants de l'ALBA (Académie libanaise des beaux-arts) Sin el-Fil, désirons dénoncer une situation dangereuse. Traverser la large route face à l'ALBA pour rejoindre nos classes est périlleuse. Nous risquons, chaque matin et soir, et parfois plusieurs fois par jour, d'être heurtés par les...
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