La 22e édition du Festival international du film de Tokyo démarre le 17 octobre avec le documentaire Océans de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud.
Après Microcosmos et Le peuple migrateur, « celui qui aime toucher le cœur des gens pour imprimer leur conscience » a décidé de plonger pour sonder les mers du monde, pour offrir « un témoignage unique sur la fragile beauté d'un monde en voie de disparition ».
Trois ans de tournage sur plus de 50 lieux des mers du globe, voilà ce que Jacques Perrin a préparé dans ce film dont la plus grande partie a été tournée en HD.
Une torpille équipée d'une caméra, traînée par une fibre optique et pouvant atteindre 5 nœuds, a été utilisée pour suivre les animaux marins.
Pour les prises de vues nocturnes, les techniques d'éclairage traditionnelles ont été modifiées. Pas de projecteurs et de flashs trop agressifs, mais la mise au point d'un nouveau procédé imitant le clair de lune.
Tous ces outils ont été conçus au fur et à mesure des besoins du film, jusqu'à l'utilisation d'un hélicoptère miniature pour les prises de vues en surface.
Un film époustouflant, aux images impressionnantes, présentant les animaux marins filmés au quotidien. Encore un hommage à cette nature que l'homme maltraite et endommage tous les jours sans aucune prise de conscience. Mais verra-t-on ce film un jour dans les salles beyrouthines ?
Après Microcosmos et Le peuple migrateur, « celui qui aime toucher le cœur des gens pour imprimer leur conscience » a décidé de plonger pour sonder les mers du monde, pour offrir « un témoignage unique sur la fragile beauté d'un monde en voie de disparition ».
Trois ans de tournage sur plus de 50 lieux des mers du globe, voilà ce que Jacques Perrin a préparé dans ce film dont la plus grande partie a été tournée en HD.
Une torpille équipée d'une caméra, traînée par une fibre optique et pouvant atteindre 5 nœuds, a été utilisée pour suivre les animaux marins.
Pour les prises de vues nocturnes, les techniques d'éclairage traditionnelles ont été modifiées. Pas de projecteurs et de flashs trop agressifs, mais la mise au point d'un nouveau procédé imitant le clair de lune.
Tous ces outils ont été conçus au fur et à mesure des besoins du film, jusqu'à l'utilisation d'un hélicoptère miniature pour les prises de vues en surface.
Un film époustouflant, aux images impressionnantes, présentant les animaux marins filmés au quotidien. Encore un hommage à cette nature que l'homme maltraite et endommage tous les jours sans aucune prise de conscience. Mais verra-t-on ce film un jour dans les salles beyrouthines ?
La 22e édition du Festival international du film de Tokyo démarre le 17 octobre avec le documentaire Océans de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud. Après Microcosmos et Le peuple migrateur, « celui qui aime toucher le cœur des gens pour imprimer leur conscience » a décidé de plonger pour sonder les mers du monde,...
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