Harry Potter and the Half-Blood Prince
De David Yates.
Avec Daniel Radcliffe et Emma Watson.
L'étau démoniaque de Voldemort se resserre sur l'univers des Moldus et le monde de la sorcellerie. Poudlard a cessé d'être un havre de paix et le danger rode au château. Dumbledore est plus décidé que jamais à préparer Harry à son combat final, désormais imminent. Ensemble, le vieux maître et le jeune sorcier vont tenter de percer à jour les défenses de Voldemort. Mais un autre « mal » hante cette année les étudiants : le démon de l'adolescence ! Harry est de plus en plus attiré par Ginny, qui ne laisse pas indifférent son rival, Dean Thomas ; Lavande Brown a jeté son dévolu sur Ron, mais oublié le pouvoir « magique » des chocolats de Romilda Vane ; Hermione, rongée par la jalousie, a décidé de cacher ses sentiments, vaille que vaille. « Love is in the air » .
On croyait qu'en grandissant, son image flétrirait. On croyait qu'il perdrait son audience, que son public n'allait pas le suivre dans les méandres de son adolescence. On avait gagé, parié. Mais voilà, le verdict est là. Avec sa sortie en Amérique, le 15 juillet, la magie de « Harry Potter » joue toujours sur le box-office américain, avec des recettes miraculeuses: 159,7 millions de dollars en 5 jours.
Le sixième tome de la saga, « Harry Potter et le prince de sang-mêlé », a rapporté 79,5 millions de dollars aux États-Unis sur son premier week-end, et 159,7 millions depuis mercredi dernier, selon les estimations du distributeur Warner Bros publiées dimanche.
Avec des critiques flatteuses, ce sixième opus du petit magicien démarre mieux que touts les précédents produits ensorcelants. La sixième aventure du petit sorcier fait 20 millions de dollars de plus que le numéro 5, « Harry Potter et l'ordre du Phénix », qui avait capté 139,7 millions de dollars sur cinq jours, il y a deux ans. Il a même réussi à se placer au niveau de « Transformers 2 la revanche », qui avait accumulé autour de 200 millions sur cinq jours le mois dernier, le meilleur score jamais réalisé pour un film sorti un mercredi.
Certes, le dernier film attire une audience un peu plus âgée. De plus grands adolescents sont venus voir Harry sous les traits de Daniel Radcliffe, son amie Hermione, incarnée par Emma Watson, et Ron par Rupert Grint. Des peines de cœur à la jalousie, en passant par les triangles amoureux, les fans de Harry ont vieilli avec la série. Ils ne sont plus accompagnés par leurs parents. Ils font partie désormais partie du cercle familial du petit Potter.
Grand cinémas abc/ grand concorde/grand las salinas/Cinemacity, zouk
Blindness
de Fernando Meirelles.
Avec Julianne Moore, Mark Ruffalo et Danny Glover.
Le pays est frappé par une épidémie de cécité qui se propage à une vitesse fulgurante. Les premiers contaminés sont mis en quarantaine dans un hôpital désaffecté où ils sont rapidement livrés à eux-mêmes, privés de tout repère. Ils devront faire face au besoin primitif de chacun : la volonté de survivre à n'importe quel prix. Seule une femme n'a pas été touchée par la « blancheur lumineuse ». Elle va les guider pour échapper aux instincts les plus vils et leur faire reprendre espoir en la condition humaine.
Dirigé par le Brésilien Fernando Meirelles (The Constant Gardener et La cité de Dieu), ce film, qui a fait l'ouverture de la 61e édition du Festival de Cannes, est adapté du roman L'aveuglement du prix Nobel, le Portugais José Saramago. L'œuvre évoque l'humanité livrée à ses plus vils instincts.
Si Blindness est un film d'actualité puisque le genre humain affronte tous les deux ans une épidémie assez grave, le cinéaste a voulu également mettre l'accent sur la fragilité de l'humanité.
Empire Dunes/Sodeco, Abraj, St Elie, Zouk, City Complex Tripoli
De David Yates.
Avec Daniel Radcliffe et Emma Watson.
L'étau démoniaque de Voldemort se resserre sur l'univers des Moldus et le monde de la sorcellerie. Poudlard a cessé d'être un havre de paix et le danger rode au château. Dumbledore est plus décidé que jamais à préparer Harry à son combat final, désormais imminent. Ensemble, le vieux maître et le jeune sorcier vont tenter de percer à jour les défenses de Voldemort. Mais un autre « mal » hante cette année les étudiants : le démon de l'adolescence ! Harry est de plus en plus attiré par Ginny, qui ne laisse pas indifférent son rival, Dean Thomas ; Lavande Brown a jeté son dévolu sur Ron, mais oublié le pouvoir « magique » des chocolats de Romilda Vane ; Hermione, rongée par la jalousie, a décidé de cacher ses sentiments, vaille que vaille. « Love is in the air » .
On croyait qu'en grandissant, son image flétrirait. On croyait qu'il perdrait son audience, que son public n'allait pas le suivre dans les méandres de son adolescence. On avait gagé, parié. Mais voilà, le verdict est là. Avec sa sortie en Amérique, le 15 juillet, la magie de « Harry Potter » joue toujours sur le box-office américain, avec des recettes miraculeuses: 159,7 millions de dollars en 5 jours.
Le sixième tome de la saga, « Harry Potter et le prince de sang-mêlé », a rapporté 79,5 millions de dollars aux États-Unis sur son premier week-end, et 159,7 millions depuis mercredi dernier, selon les estimations du distributeur Warner Bros publiées dimanche.
Avec des critiques flatteuses, ce sixième opus du petit magicien démarre mieux que touts les précédents produits ensorcelants. La sixième aventure du petit sorcier fait 20 millions de dollars de plus que le numéro 5, « Harry Potter et l'ordre du Phénix », qui avait capté 139,7 millions de dollars sur cinq jours, il y a deux ans. Il a même réussi à se placer au niveau de « Transformers 2 la revanche », qui avait accumulé autour de 200 millions sur cinq jours le mois dernier, le meilleur score jamais réalisé pour un film sorti un mercredi.
Certes, le dernier film attire une audience un peu plus âgée. De plus grands adolescents sont venus voir Harry sous les traits de Daniel Radcliffe, son amie Hermione, incarnée par Emma Watson, et Ron par Rupert Grint. Des peines de cœur à la jalousie, en passant par les triangles amoureux, les fans de Harry ont vieilli avec la série. Ils ne sont plus accompagnés par leurs parents. Ils font partie désormais partie du cercle familial du petit Potter.
Grand cinémas abc/ grand concorde/grand las salinas/Cinemacity, zouk
Blindness
de Fernando Meirelles.
Avec Julianne Moore, Mark Ruffalo et Danny Glover.
Le pays est frappé par une épidémie de cécité qui se propage à une vitesse fulgurante. Les premiers contaminés sont mis en quarantaine dans un hôpital désaffecté où ils sont rapidement livrés à eux-mêmes, privés de tout repère. Ils devront faire face au besoin primitif de chacun : la volonté de survivre à n'importe quel prix. Seule une femme n'a pas été touchée par la « blancheur lumineuse ». Elle va les guider pour échapper aux instincts les plus vils et leur faire reprendre espoir en la condition humaine.
Dirigé par le Brésilien Fernando Meirelles (The Constant Gardener et La cité de Dieu), ce film, qui a fait l'ouverture de la 61e édition du Festival de Cannes, est adapté du roman L'aveuglement du prix Nobel, le Portugais José Saramago. L'œuvre évoque l'humanité livrée à ses plus vils instincts.
Si Blindness est un film d'actualité puisque le genre humain affronte tous les deux ans une épidémie assez grave, le cinéaste a voulu également mettre l'accent sur la fragilité de l'humanité.
Empire Dunes/Sodeco, Abraj, St Elie, Zouk, City Complex Tripoli
Harry Potter and the Half-Blood PrinceDe David Yates. Avec Daniel Radcliffe et Emma Watson.L'étau démoniaque de Voldemort se resserre sur l'univers des Moldus et le monde de la sorcellerie. Poudlard a cessé d'être un havre de paix et le danger rode au château. Dumbledore est plus décidé que jamais à préparer Harry à...
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