Ce soir, au Beirut Film Festival, à l’Empire Sofil, 19h30.
Le jeune cinéaste italien Paolo Sorrentino brosse le portrait du leader controversé de la Démocratie chrétienne, l’inoxydable dit « Le Bossu », dit « Le Sphinx », dit « L’Éternité »…. À comprendre : Giulio Andreotti, sept fois président du Conseil et 25 fois ministre.
D’Andreotti, politicien opaque, le réalisateur livre un portrait semi-caricatural, avec le concours d’un comédien prodigieusement doué : Toni Servillo. Une suite de scènes à la limite du baroque, filmées avec une virtuosité surprenante. L’utilisation des décors, de la musique et la maîtrise du montage soutiennent superbement le projet de Sorrentino, à mi-chemin entre la satire féroce et la parodie grinçante.
Ce soir, au Beirut Film Festival, à l’Empire Sofil, 19h30.
Le jeune cinéaste italien Paolo Sorrentino brosse le portrait du leader controversé de la Démocratie chrétienne, l’inoxydable dit « Le Bossu », dit « Le Sphinx », dit « L’Éternité »…. À comprendre : Giulio Andreotti, sept fois président du Conseil et 25 fois ministre.
D’Andreotti, politicien...
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