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ANIMAUX Le plus grand calmar jamais pêché aurait des congénères bien plus... grands

Le plus grand calmar jamais pêché, qui mesure dix mètres de long, pourrait être loin d’atteindre la taille maximale de cette espèce, ont affirmé hier des scientifiques en Nouvelle-Zélande. Ce gigantesque calmar est en train d’être décongelé dans le Musée de Nouvelle-Zélande à Wellington. Il avait été pêché par un bateau en février l’année dernière, alors qu’il mangeait un poisson dans les eaux de l’Antarctique. L’animal pèse 495 kilos, a des yeux de la taille d’une assiette et mesure environ 10 mètres de long avec des tentacules aux extrémités tranchantes comme un rasoir. Congelé, il avait été remis au musée, qui vient de décider de le ramollir afin d’être examiné mercredi par une équipe de scientifiques internationaux puis d’être exposé. Entreposé dans un bassin d’eau salée, le calmar sera ensuite conservé dans du formol. Après un examen initial, les scientifiques ont estimé que ce calmar pourrait être relativement petit, indiquant que des animaux de cette espèce peuvent atteindre des tailles bien supérieures dans les eaux de l’Antarctique. Sur un blog du musée, Chris Paulin, directeur de projet, a indiqué que la taille du bec inférieur du calmar – utilisé pour dépecer ses proies – était d’environ 43 à 45 millimètres. Or, des becs de 49 millimètres ont déjà été retrouvés dans l’estomac de baleines et il semble que la taille de cet élément est proportionnelle à celle de l’animal. Selon les scientifiques, ces indications laissent supposer que des calmars peuvent atteindre une dimension bien plus gigantesque encore que celle du spécimen de 495 kilos en décongélation au Musée de Wellington.
Le plus grand calmar jamais pêché, qui mesure dix mètres de long, pourrait être loin d’atteindre la taille maximale de cette espèce, ont affirmé hier des scientifiques en Nouvelle-Zélande. Ce gigantesque calmar est en train d’être décongelé dans le Musée de Nouvelle-Zélande à Wellington. Il avait été pêché par un bateau en février l’année dernière, alors...