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Le 14 Mars choisirait de se rendre place de l’Étoile pour réaffirmer ses priorités Le Hezbollah dit oui à Berry, Aoun prend son temps Des « détails administratifs » retardent le retrait de la localité de Ghajar

Le moins que l’on puisse dire, c’est que la rentrée politique de l’après-Fitr est lourde ; que le « cadeau » de Nabih Berry, son appel à des « concertations » nationales lundi, place de l’Étoile, sur un changement de gouvernement et sur la loi électorale, n’a pas enthousiasmé les foules, à l’exception notoire du Hezbollah, qui s’est dépêché hier de l’accepter en bonne et due forme. Et pendant que Michel Aoun, qui a qualifié l’idée de « bonne » sur la LBC, semble décidé à prendre son temps et à multiplier les concertations avant de s’engager personnellement ou d’engager son bloc, les principaux intéressés – ou les principaux floués, c’est selon… –, les forces du 14 Mars, continuent de relever les lacunes du cadeau Berry. Il n’en reste pas moins que ces piliers de la majorité se réuniront, selon des sources bien informées, demain ; ils choisiraient, dit-on, d’accepter l’offre de dialogue, de se rendre place de l’Étoile, mais pour y réaffirmer leurs priorités et rappeler au (mauvais) souvenir de l’opposition la prééminence de la crise de pouvoir, les toujours mauvaises relations libano-syriennes et le non-désarmement du Hezbollah. En attendant, au Liban-Sud où se rendront très prochainement les 435 légionnaires espagnols arrivés hier à Beyrouth, des « détails administratifs » liés aux habitants du village retardent, selon la Finul, le retrait israélien de Ghajar. Nos informations et l’article de Ziyad MAKHOUL
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la rentrée politique de l’après-Fitr est lourde ; que le « cadeau » de Nabih Berry, son appel à des « concertations » nationales lundi, place de l’Étoile, sur un changement de gouvernement et sur la loi électorale, n’a pas enthousiasmé les foules, à l’exception notoire du Hezbollah, qui s’est dépêché hier de...