– Charles Hélou (1967): «Ce qui, d’année en année, nous ramène à Baalbeck, ce n’est pas la simple religion du souvenir, ce sentiment de piété résignée envers ce que le temps...
Actualités
Paroles de présidents
le 12 juillet 2006 à 00h00
Pour le président Camille Chamoun, en 1956, «c’est le témoignage que le Liban est enfin rendu à sa vraie vocation: et entend, plus hautes et fières que jamais, les voix de son passé».
– Charles Hélou (1967): «Ce qui, d’année en année, nous ramène à Baalbeck, ce n’est pas la simple religion du souvenir, ce sentiment de piété résignée envers ce que le temps menace. Non, la foi qui peuple et anime les temples debout est une foi en nous-mêmes, manifestée et renouvelée par notre persévérance non point seulement à ressusciter le passé mais à contribuer, par là, à façonner l’avenir.»
– Sleiman Frangié (1971): «Majesté des temples, élégance d’un festival. Cela reflète une image authentiquement libanaise: noblesse des origines, ouverture au renouveau.»
Pour le président Camille Chamoun, en 1956, «c’est le témoignage que le Liban est enfin rendu à sa vraie vocation: et entend, plus hautes et fières que jamais, les voix de son passé».
– Charles Hélou (1967): «Ce qui, d’année en année, nous ramène à Baalbeck, ce n’est pas la simple religion du souvenir, ce sentiment de piété résignée envers ce que le temps...
– Charles Hélou (1967): «Ce qui, d’année en année, nous ramène à Baalbeck, ce n’est pas la simple religion du souvenir, ce sentiment de piété résignée envers ce que le temps...
Les plus commentés
Crise migratoire : un faux dilemme pour le Liban
Mobilisation propalestinienne à la Sorbonne : des étudiantes racontent à « L’OLJ » leur arrestation
À Gaza, le Hamas entend continuer à exister militairement et politiquement