Albert Madendjian : « L’assurance est le moteur de l’économie »

Fondée en 1978, Assurex, société anonyme libanaise d’assurances et de réassurances, n’a cessé depuis de progresser jusqu’à devenir aujourd’hui l’une des sociétés leaders de l’assurance au Liban. Assurex possède un fier héritage d’excellence en matière de service de la clientèle, service des sinistres, offre de produits et de stabilité financière. « Les actionnaires de la société sont des institutions de renom, explique le directeur général Albert Madendjian. L’une d’entre elles est d’ailleurs centenaire. Il s’agit de la Société Fattal. Les activités d’Assurex s’articulent autour de diverses branches de l’assurance pour satisfaire tous les besoins. Assurex offre des services d’assurances spécialisés et actualisés, en collaboration avec des compagnies de réassurances mondiales », précise M. Madendjian. Grâce à son équipe de professionnels, Assurex offre des solutions innovantes et des services porteurs d’une réelle valeur ajoutée. « La compagnie se voue en priorité à la satisfaction du client, et elle travaille constamment à l’amélioration de la qualité de ses services. Nous traitons avec des réassureurs reconnus sur la place internationale, souligne Albert Madendjian. Par ailleurs, Assurex veille à intégrer des méthodes de pointe en matière de gestion de portefeuilles d’assurances. L’adoption de la transparence, de la rigueur dans le travail et d’une stratégie claire en ont fait une compagnie respectée dans son secteur. » Outre son nouveau siège social sis au centre-ville, dans un très beau local de trois étages, Assurex possède cinq branches couvrant tout le territoire libanais, à Jounieh, Tripoli, Zahlé, Saïda et Élissar. Un marché prometteur « Sur l’année 2005, le chiffre d’affaires de la compagnie a progressé de plus de 10 %, ce qui est satisfaisant si on pense aux différents incidents dans le pays au cours de cette période, précise M. Madendjian. Il faut dire que le marché de l’assurance au Liban se développe. La prime moyenne par habitant reste bien en dessous de la moyenne dans les pays industrialisés. Cependant, les Libanais sont de plus en plus conscients de l’importance du principe de l’assurance. Grâce aux efforts menés conjointement par l’ACAL et les compagnies, l’assurance est le moteur de l’économie. Elle est son ange gardien ! » Albert Madendjian souligne le rôle positif du nouveau projet de loi. « Il ne peut que renforcer le cadre législatif de l’assurance au Liban, explique-t-il. L’augmentation de la capitalisation des sociétés et l’adoption obligatoire d’un ratio minimum de solvabilité représentent des démarches positives pour notre industrie et nous ne pouvons qu’espérer le meilleur dans les prochains jours », conclut-il.