La semaine dernière a été particulièrement mouvementée sur les marchés avec un niveau de « stress » que l’on voit rarement. Relevons d’abord la baisse panique des marchés du Golfe, dont l’ampleur est historique car elle affecte l’ensemble du corps social de ces pays et menace leur équilibre bien plus que ne le feraient des...
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À suivre cette semaine Les métaux, l’euro, le pétrole...
Par Par l’équipe des marchés de FFA, le 15 mai 2006 à 00h00
Par l’équipe des marchés de FFA
La semaine dernière a été particulièrement mouvementée sur les marchés avec un niveau de « stress » que l’on voit rarement. Relevons d’abord la baisse panique des marchés du Golfe, dont l’ampleur est historique car elle affecte l’ensemble du corps social de ces pays et menace leur équilibre bien plus que ne le feraient des attentats islamistes. Dans le même temps, la manne pétrolière ne semble pas se tarir, puisque le pétrole se maintient à des niveaux historiques autour de 74 dollars le baril, menaçant la croissance économique mondiale. Le dollar s’affaiblit en conséquence, cotant 1,30 dollar pour 1 euro dans la perspective d’une fin de la hausse des taux d’intérêt US. L’or atteint des sommets jamais vus depuis 26 ans et dépasse allègrement la barre des 720 dollars l’once. Ce genre de situation peut s’avérer très profitable, et très rapidement, pour ceux qui jouent le retournement. En effet, les indicateurs techniques montrent que les mouvements de la semaine dernière sont des mouvements de panique ou de « capitulation », ce qui est un indicateur de retournement imminent à court terme. On peut donc tenter des « short » sur les métaux, l’euro, voire le pétrole, dans l’espoir d’un retournement rapide. Mais attention, à long terme, la tendance plaide en faveur de la rareté des matières premières et donc de leur cherté, et d’un dollar faible.
* Cette analyse est donnée à titre indicatif. Elle ne saurait engager la responsabilité de L’Orient-Le Jour.
Par l’équipe des marchés de FFA
La semaine dernière a été particulièrement mouvementée sur les marchés avec un niveau de « stress » que l’on voit rarement. Relevons d’abord la baisse panique des marchés du Golfe, dont l’ampleur est historique car elle affecte l’ensemble du corps social de ces pays et menace leur équilibre bien plus que ne le feraient des...
La semaine dernière a été particulièrement mouvementée sur les marchés avec un niveau de « stress » que l’on voit rarement. Relevons d’abord la baisse panique des marchés du Golfe, dont l’ampleur est historique car elle affecte l’ensemble du corps social de ces pays et menace leur équilibre bien plus que ne le feraient des...
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