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Actualités - OPINION

Courrier des lecteurs Vive le cinéma libanais !

Je me permets de vous écrire parce que ces dernières années je me suis rendu compte à quel point le cinéma libanais grandissait. Ghassan Salhab, Randa Chahal, Danielle Arbid, Bahij Hojeij, Philippe Aractingi, ils sont de plus en plus nombreux à se faire connaître, à gagner des prix et à faire la fierté des Libanais. Dernièrement, Hany Tamba nous a même offert un César du meilleur court-métrage ! Quel bonheur de voir que notre cinéma est reconnu internationalement ! Et ce qui me rend vraiment heureuse, c’est que ces films libanais avaient auparavant tendance à suivre tous plus ou moins le même chemin et à parler constamment de la guerre. Mais ces derniers temps, les films changent. Après les couleurs et les danses de Bosta, on peut aussi trouver des films plus graves comme A Perfect Day que j’ai vu à Paris et qui m’a carrément surprise parce qu’il n’y a pas d’images de guerre et que l’histoire se passe aujourd’hui à Beyrouth. Et, de surcroît, la forme du film ne ressemble en rien à ce que nous avons pu connaître dans le cinéma libanais. J’ai vraiment apprécié le travail des cinéastes qui ont eu le courage de faire le pas et de proposer quelque chose de nouveau. Ça fait plaisir. Longue vie au cinéma libanais ! Pauline KARAM, de Paris
Je me permets de vous écrire parce que ces dernières années je me suis rendu compte à quel point le cinéma libanais grandissait. Ghassan Salhab, Randa Chahal, Danielle Arbid, Bahij Hojeij, Philippe Aractingi, ils sont de plus en plus nombreux à se faire connaître, à gagner des prix et à faire la fierté des Libanais. Dernièrement, Hany Tamba nous a même offert un César du...