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DÉFILÉS Kenzo en poésie à la Fashion Week de Paris

La femme de l’hiver prochain a été invitée samedi dernier à s’envoler pour un Extrême-Orient poétique, coloré et fastueux avec Kenzo lors des collections de prêt-à-porter féminin présentées à Paris. Chez Kenzo, devant une lampe de papier japonaise géante, se sont succédé des femmes richement vêtues de vestes et manteaux de brocart, de velours changeant, brodés de feuillages, de roses, de pivoines. Antonio Marras, qui indique s’être inspiré du Turandot de Puccini, signe une collection qui invite au voyage dans un Extrême-Orient réinventé où les vêtements se superposent, les couleurs les plus flamboyantes se mélangent, où l’opulence s’exprime dans une profusion de soie, de laines façonnées, de damas, de dentelles. Un manteau japonisant matelassé rouge vif s’orne ainsi de boutons d’or, de fleurs jaunes, d’une bande bleu vif le long de l’ourlet. Un autre à manches kimono, anthracite quadrillé de blanc, est rebrodé de fleurs roses et bleues. Une cape noire au bord brillant accueille des ramages et se double de rose vif. À la fin du défilé, un arbre est apparu en ombre chinoise derrière la lampe de papier qui s’est ouverte à son tour, dévoilant l’arbre en fleurs et orné de lampions allumés, sur fond de disque d’or, entouré des mannequins. Une pluie de pétales est tombée doucement sur le public.
La femme de l’hiver prochain a été invitée samedi dernier à s’envoler pour un Extrême-Orient poétique, coloré et fastueux avec Kenzo lors des collections de prêt-à-porter féminin présentées à Paris.
Chez Kenzo, devant une lampe de papier japonaise géante, se sont succédé des femmes richement vêtues de vestes et manteaux de brocart, de velours changeant, brodés...