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Actualités - CHRONOLOGIE

Les ciné-clubs

Dieu seul me voit, de Bruno Podalydès (1998) Derrière la caméra, Bruno Podalydès, devant, son frère Denis. La recette semble effectivement marcher pour cette famille du 7e art qui nous avait séduit avec notamment Liberté-Oléron et Le mystère de la chambre jaune. Dieu seul me voit est le deuxième volet d’une trilogie sur Versailles, dont le premier, Versailles rive-gauche (1992), met en scène le même antihéros , à savoir un type un peu paumé. Cet homme ordinaire, séducteur malgré lui, est confronté à la vie, aux autres et surtout aux femmes. Le cinéaste prouve une fois de plus sa maîtrise du comique de situation ainsi que son habileté à jongler avec le léger et l’intelligent. L’histoire : hommage à l’hésitation qui est « un moment de la pensée juste » à travers les pérégrinations d’Albert, éternel indécis, adepte de l’esprit d’escalier, qui réfléchit avant et après, se demande s’il aime vraiment la raclette, s’il doit traverser oui ou non cette rue, ou s’il est capable de se battre pour défendre le système de santé à Cuba. Entre deux tours d’élections municipales, il rencontre trois jeunes femmes volontaires qui, tour à tour, vont le provoquer et l’aider à s’approcher un peu plus de lui-même. Avec Denis Podalydès, Jeanne Balibar, Isabelle Candelier, Cécile Bouillot et Mathieu Amalric. CCF, salle Montaigne, mercredi 30 décembre a 19h15
Dieu seul me voit,
de Bruno Podalydès (1998)

Derrière la caméra, Bruno Podalydès, devant, son frère Denis. La recette semble effectivement marcher pour cette famille du 7e art qui nous avait séduit avec notamment Liberté-Oléron et Le mystère de la chambre jaune.
Dieu seul me voit est le deuxième volet d’une trilogie sur Versailles, dont le premier, Versailles rive-gauche...