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Actualités - CHRONOLOGIE

Une activité inlassable depuis 1970

C’est dans les années 70, que La Voix de la femme libanaise a débuté son action, lorsque quelques dames se sont engagées dans le travail social. L’association n’avait pas encore d’appellation. La principale action de ce groupe de dames était en faveur des prisonniers. En 1975, avec le début de la guerre, l’assistance aux sinistrés de la ligne de démarcation ou aux déplacés s’impose. Progressivement, depuis la destruction de Damour, et jusqu’aux bombardements qui touchent les régions résidentielles, l’association doit parer au plus pressé. Alors que les problèmes sociaux s’aggravent, l’association s’organise, sous le nom de « L’Équipe ». Les dons affluent de partout et les déplacés sont pris en charge. Des cours de langues et de couture permettent aux sinistrés de trouver du travail, alors que les distributions de rations alimentaires s’intensifient. C’est en 1982 que l’association est baptisée « La Voix de la femme libanaise ». Elle n’a de cesse de s’occuper des familles sinistrées de la guerre et des déplacés de la Montagne. En 1984, avec la coopération de l’association internationale World Vision, elle inaugure un Centre médico-social à Fanar pour répondre à l’appel de 600 familles défavorisées. Outre les vaccinations, les consultations et le suivi médical de la population, le centre assure des études du soir supervisées à l’intention des élèves, et deux clubs, l’un de jeunes et l’autre de personnes âgées, voient le jour. Dès 1986, un centre social est inauguré à Aïn el-Remmaneh sur la ligne de démarcation qui apporte un soutien éducatif, social et culturel aux enfants et aux femmes. Les premières bourses scolaires sont distribuées grâce à la générosité de donateurs belges, français et italiens. En 1997, un nouveau centre est inauguré à Aïn el-Remmaneh-Chiah, sous le nom de Centre Saint-Hubert. Ce centre, qui assure des services sociaux, est doté d’une garderie et organise des camps d’été d’un mois à l’intention des enfants du quartier, alors que l’octroi de bourses scolaires se développe. La Voix de la femme libanaise poursuit aujourd’hui ses actions de proximité dans les quartiers de Fanar et de Aïn el-Remmaneh, et relève parallèlement le défi de permettre aux enfants défavorisés d’avoir accès à l’éducation.
C’est dans les années 70, que La Voix de la femme libanaise a débuté son action, lorsque quelques dames se sont engagées dans le travail social. L’association n’avait pas encore d’appellation. La principale action de ce groupe de dames était en faveur des prisonniers. En 1975, avec le début de la guerre, l’assistance aux sinistrés de la ligne de démarcation ou aux déplacés...