Soutenue par les États-Unis et l’Union européenne, la...
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Libye Tripoli libérerait les infirmières bulgares en échange d’aide
le 30 novembre 2005 à 00h00
La Libye a laissé entendre en marge de la conférence euro-méditerranéenne de Lisbonne que la condamnation à mort de cinq infirmières bulgares reconnues coupables d’avoir infecté des centaines d’enfants avec le virus du sida serait cassée si les victimes obtenaient une aide humanitaire, a rapporté hier la presse bulgare.
Soutenue par les États-Unis et l’Union européenne, la Bulgarie met en cause dans cette affaire les mauvaises conditions sanitaires en Libye et refuse de payer des indemnités aux familles, estimant que cela reviendrait à reconnaître la culpabilité de ses ressortissantes. Mais, selon le ministre libyen des Affaires étrangères Mohammed Abdel-Rahman Chalgam, un compromis portant sur une aide humanitaire serait en cours de négociation. « Dans la loi islamique, nous avons ce que nous appelons le prix du sang. Pour les enfants contaminés, nous devons obtenir des médicaments et de bons hôpitaux. Dans ce cas, les peines de mort tomberont automatiquement », a-t-il fait valoir après une rencontre avec son homologue bulgare Ivaïlo Kalfine.
La Libye a laissé entendre en marge de la conférence euro-méditerranéenne de Lisbonne que la condamnation à mort de cinq infirmières bulgares reconnues coupables d’avoir infecté des centaines d’enfants avec le virus du sida serait cassée si les victimes obtenaient une aide humanitaire, a rapporté hier la presse bulgare.
Soutenue par les États-Unis et l’Union européenne, la...
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