Rechercher
Rechercher

Actualités - CHRONOLOGIE

Le souvenir du 13 octobre 1990 à la NDU

En réponse à l’invitation de l’amicale de l’Université Notre-Dame de Louaïzé (NDU), le responsable du Courant patriotique libre (CPL) et ancien chef de file du Bureau central de coordination nationale (BCCN), Pierre Raffoul, a donné un témoignage sur « les événements du 13 octobre 1990 et la chute du dernier bastion libre du Liban ». Selon Pierre Raffoul, le 13 octobre était une « étape importante dans le processus de libération du Liban ». « Lorsque le général Aoun a pris le pouvoir, en 1988, un phénomène populaire est né, un phénomène pur, parce qu’il était complètement libanais. Ce phénomène était fondé sur quatre piliers : la confiance dans un Liban souverain, libre et indépendant, la confiance dans le général Michel Aoun, le sentiment de fraternisation et la détermination pour remporter la lutte », a indiqué l’ancien cadre du BCCN. Pierre Raffoul a ensuite évoqué les principales étapes de la période 1988-1990, estimant que le général Aoun s’était vu offrir la présidence de la République à plusieurs reprises, mais qu’il avait « toujours refusé le moindre compromis, parce que la lutte avec la Syrie ne portait pas sur la présidence de la République, mais sur la République elle-même ». Pour lui, le 13 octobre 1990 et tout le processus de libération peuvent être résumés en une seule phrase prononcée par le général Aoun : « Ils peuvent m’écraser, mais ils ne pourront jamais me forcer à livrer mon pays. »
En réponse à l’invitation de l’amicale de l’Université Notre-Dame de Louaïzé (NDU), le responsable du Courant patriotique libre (CPL) et ancien chef de file du Bureau central de coordination nationale (BCCN), Pierre Raffoul, a donné un témoignage sur « les événements du 13 octobre 1990 et la chute du dernier bastion libre du Liban ».
Selon Pierre Raffoul, le 13 octobre était...