Avec L’auberge espagnole, on arrivait presque à sentir l’odeur des tapas et le bruit des vagues qui formaient le décor des aventures des jeunes étudiants de Cédric Klapisch. Faut-il pour autant s’attendre à goûter à la vodka et au caviar des Poupées russes ?
Romain Duris nous charme, of course ! Mais j’ai trouvé là une approche totalement différente du premier film ! On s’attend à une aventure loufoque de ces jeunes globe-trotters et on est face à un scénario plus conventionnel qui tourne autour d’une histoire d’amour. Je m’attendais donc à quelque chose, et je vois tout le contraire… et j’ai adoré !
Ce qui m’a aussi étonnée a été la coïncidence entre le monde de la mode et du grand écran ! N’y voyez pas là l’œil d’une « fashionistas » avérée, mais en tournant n’importe quelle page de magazines, je tombe sur l’influence russe dans la mode de cet hiver… Faut-il y voir un mouvement à suivre ? Oui ! Et dans votre shopping des films à voir, mettez Les poupées russes en haut de la liste, croyez-moi, vous passerez un bon moment…
Nour NAJJAR
Contacts: Société générale de presse et d’édition SAL, Kantari, imm. Kantari Corner. E-mail: redaction@lorientlejour.com (230 mots).
Avec L’auberge espagnole, on arrivait presque à sentir l’odeur des tapas et le bruit des vagues qui formaient le décor des aventures des jeunes étudiants de Cédric Klapisch. Faut-il pour autant s’attendre à goûter à la vodka et au caviar des Poupées russes ?
Romain Duris nous charme, of course ! Mais j’ai trouvé là une approche totalement différente du premier film ! On...
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