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Actualités - CHRONOLOGIE

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L’argent ne fait pas le « bonheur national brut » Le Japon devrait moins se préoccuper de la croissance de son produit intérieur brut et s’inspirer de l’exemple du Bhoutan, qui mesure ses progrès à l’aide d’un autre indicateur, le « bonheur national brut », ont affirmé hier d’éminents économistes nippons. « Le Japon a énormément de choses à apprendre du Bhoutan », a déclaré Takayoshi Kusago, ancien économiste à la Banque mondiale et professeur à l’Université d’Osaka, lors d’un symposium sur le « bonheur national brut » organisé à Tokyo par le ministère nippon des Affaires étrangères. Depuis les années 1970, le Bhoutan, petit royaume himalayen, s’intéresse surtout à la croissance de son « bonheur national brut », un indicateur qui mesure le bonheur individuel des citoyens. Le « BNB » prend en compte quatre facteurs : le développement socio-économique durable et équitable, la préservation de l’environnement, la préservation et la promotion de la culture et la bonne gouvernance. Momie maman Un professeur d’université du sud de l’Inde a conservé chez lui, pendant 21 ans, le corps embaumé de sa mère avant de décéder la semaine dernière, a rapporté hier le quotidien The Pioneer. Syed Abdul Gafoor, professeur de littérature anglaise dans l’Andhra Pradesh, avait réussi à garder, envers et contre tous, le corps de Rahmat Bi dans la maison de ses ancêtres à Siddavata. Selon The Pioneer, l’enseignant, résolu à empêcher tout enterrement, avait embaumé le corps maternel qu’il avait ensuite exposé dans un cercueil de verre. Mère et fils reposent désormais côte à côte : « Nous avons respecté la dernière volonté de notre oncle qui voulait que sa mère ne soit enterrée qu’après son décès », a indiqué un neveu de M. Gafoor, Syed Noor. Pas de menu, pas de vitres… Un homme de 38 ans a été condamné à six mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Lorient (France) pour avoir brisé les vitres d’un restaurant McDonald’s, faute d’avoir pu obtenir le menu qu’il désirait. L’homme s’était présenté au restaurant où une caissière lui a indiqué que le menu souhaité n’était plus disponible. Après qu’une responsable du restaurant lui a confirmé les dires de la caissière, fou de rage et légèrement éméché, il a brisé quatre vitres de l’établissement avec ses poings et ses pieds. Devant le tribunal, il a affirmé regretter son geste, qu’il a expliqué par l’alcool qu’il avait bu et une réflexion désobligeante de l’une des employées.
L’argent ne fait pas le « bonheur
national brut »
Le Japon devrait moins se préoccuper de la croissance de son produit intérieur brut et s’inspirer de l’exemple du Bhoutan, qui mesure ses progrès à l’aide d’un autre indicateur, le « bonheur national brut », ont affirmé hier d’éminents économistes nippons. « Le Japon a énormément de choses à apprendre du Bhoutan », a...