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Actualités - OPINION

Caméra rapprochée Ron Howard : un inconditionnel des superproductions

Ron Howard débute comme comédien. Adolescent, il joue dans la série Happy Days, qui connaît un succès égal durant les sept années de sa diffusion et qui permettra à l’acteur d’être connu internationalement. L’émission est plus que populaire et les spectateurs sont extrêmement attachés à son sympathique personnage nommé Richie. Mais c’est véritablement en tant que réalisateur que Ron Howard connaît la consécration. En 1984, le succès de sa comédie Splash, où Daryl Hannah apparaît en sirène romantique, le fait entrer dans le cercle des réalisateurs à gros budgets. Il s’essaie au médiéval-fantastique avec le film d’aventure Willow (1988). Dès lors, les superproductions s’enchaînent, allant de la fresque historico-romantique (Far and Away, 1992) au thriller d’action (Ransom, 1997), en passant par le film-catastrophe spatial (Apollo 13, 1995). Touche-à-tout, il réalise également deux comédies, Ed TV (1999) et The Grinch (2000). Vient alors une épopée humaniste, et là encore le cinéaste épate : en 2002, il est sacré meilleur réalisateur aux Oscars pour la mise en scène de A Beautiful Mind (avec Russell Crowe). Rien à dire, tout ce que touche Howard semble se transformer en or. En attendant la très prometteuse adaptation de Da Vinci Code, nous pouvons vibrer face à l’excellent Cinderella Man, qui réunit une fois de plus le cinéaste et Russell Crowe. D.D.

Ron Howard débute comme comédien. Adolescent, il joue dans la série Happy Days, qui connaît un succès égal durant les sept années de sa diffusion et qui permettra à l’acteur d’être connu internationalement. L’émission est plus que populaire et les spectateurs sont extrêmement attachés à son sympathique personnage nommé Richie. Mais c’est véritablement en tant que...