Les enfants du tabac n’auront point de vacances cette année. Comme tous les étés, ils passent le plus clair de leur temps à cueillir les feuilles de tabac et à les enfiler pour les faire sécher au soleil. Ils se lèvent aux aurores et travaillent entre 9 et 13 heures par jour avec leurs parents. Un dur labeur, qualifié par ces enfants de véritables travaux forcés. Car il les prive de leurs droits les plus élémentaires. Alors que leurs parents, des paysans n’ayant quasiment pas d’autres ressources que celles du tabac, n’ont pas les moyens d’embaucher une main-d’œuvre pour les aider à la tâche. Gros plan sur les villages du Sud qui cultivent le tabac et rencontres avec des enfants de Siddiqine et Aïtaroun qui racontent leur difficile quotidien, au fil des saisons… mais aussi leurs rêves.
Les enfants du tabac n’auront point de vacances cette année. Comme tous les étés, ils passent le plus clair de leur temps à cueillir les feuilles de tabac et à les enfiler pour les faire sécher au soleil. Ils se lèvent aux aurores et travaillent entre 9 et 13 heures par jour avec leurs parents. Un dur labeur, qualifié par ces enfants de véritables travaux forcés. Car il les prive de...
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