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Actualités - CHRONOLOGIE

DROIT DE RÉPONSE La présidence de la République « juge bon de remettre les pendules à l’heure »

En réponse à l’article de Ziyad Makhoul paru dans l’édition du 24 juin 2005 de L’Orient-Le Jour, le bureau de presse de la présidence de la République souhaiterait clarifier les points suivants : « En citant l’ancien député M. Farès Souhaid, L’Orient-Le Jour a rapporté plusieurs désinformations : – “ Le point de départ du feuilleton terroriste sanglant au Liban a été la violation de la Constitution et la prorogation du mandat Lahoud.” Aucun juriste impartial ne peut affirmer qu’il y a eu violation de la Constitution, car son amendement et la prorogation ont été faits suivant les règles constitutionnelles, et beaucoup d’hommes politiques, qui aujourd’hui réclament le départ du président, ont voté cet amendement. Feu le président du Conseil martyr, Rafic Hariri, l’a signé aussi. Ce martyr patriote aurait-il été complice d’un acte de violation de la Constitution ? Impensable ! – Ce n’est pas vrai que le feuilleton terroriste a commencé avec la prorogation, car Élie Hobeika, Jihad Ahmed Jibril, Ali Hassan Saleh, Ghaleb Awali ont été tués avant. Mais si cela était vrai, cela ne pourrait que donner à penser que les attaques terroristes ont été planifiées par des adversaires puissants de la prorogation du mandat d’un président patriote, qui cherche à les empêcher de nuire au Liban, à son indépendance et à ses libertés. Parmi leurs plans, on peut citer : l’implantation des Palestiniens, le désarmement forcé du Hezbollah et la guerre sectaire renouvelée avec l’émigration conséquente des Libanais, et bien d’autres effets néfastes recherchés volontairement ou non par certaines grandes puissances. C’est la vie même du Liban que le président est en train de défendre, et c’est cette vie que ses détracteurs sont en train de mettre en péril, volontairement ou par ignorance. – L’assassinat du président Hariri a servi à faciliter ce plan qui a débouché sur le démantèlement des SR, rendant le Liban aveugle et sourd, donc impuissant, face aux attaques terroristes. Mais le président, cible principale, reste en place. D’où une campagne médiatique d’une intensité jamais égalée au Liban. Nous aimerions penser que journalistes et politiciens agissent par ignorance et se trouvent involontairement dans le camp des ennemis du Liban. C’est pour cela que nous avons jugé bon de remettre les pendules à l’heure. »
En réponse à l’article de Ziyad Makhoul paru dans l’édition du 24 juin 2005 de L’Orient-Le Jour, le bureau de presse de la présidence de la République souhaiterait clarifier les points suivants :
« En citant l’ancien député M. Farès Souhaid, L’Orient-Le Jour a rapporté plusieurs désinformations :
– “ Le point de départ du feuilleton terroriste sanglant au Liban a été...