Dans la foulée des législatives, une catégorie de la population a été ignorée et sa cause reléguée, une fois de plus, aux oubliettes. Le dossier des détenus libanais dans les geôles syriennes n’a pas encore été clos. Et en ce premier jour du scrutin, les parents des détenus qui poursuivent leur sit-in permanent place Riad el-Solh, face à l’Escwa, regrettent ce qui se passe,...
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Une catégorie ignorée : les détenus libanais en Syrie
le 30 mai 2005 à 00h00
Dans la foulée des législatives, une catégorie de la population a été ignorée et sa cause reléguée, une fois de plus, aux oubliettes. Le dossier des détenus libanais dans les geôles syriennes n’a pas encore été clos. Et en ce premier jour du scrutin, les parents des détenus qui poursuivent leur sit-in permanent place Riad el-Solh, face à l’Escwa, regrettent ce qui se passe, alors qu’ils avaient « cru » que leur problème allait enfin être résolu. « Qu’est-il advenu de la liberté, de l’indépendance et de la souveraineté ? » se demande Violette Nassif, du Comité des parents des détenus dans les geôles syriennes. « Ces objectifs ne peuvent être atteints sans la libération de nos proches. Ils ont ignoré les jeunes qui ont investi les rues le 14 mars et vendu notre cause pour un siège au Parlement. »
Dans la foulée des législatives, une catégorie de la population a été ignorée et sa cause reléguée, une fois de plus, aux oubliettes. Le dossier des détenus libanais dans les geôles syriennes n’a pas encore été clos. Et en ce premier jour du scrutin, les parents des détenus qui poursuivent leur sit-in permanent place Riad el-Solh, face à l’Escwa, regrettent ce qui se passe,...
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