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Actualités - CHRONOLOGIE

Reportage - Les commerçants restent malgré tout optimistes Le centre-ville de Beyrouth encaisse mal le choc économique de l’attentat

Cœur touristique et commercial de la capitale, le centre-ville de Beyrouth ne bat plus qu’au rythme des manifestations. Aujourd’hui, un mois après l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri, les commerçants encaissent mal le choc des événements : un choc moral, mais aussi économique. Plusieurs jours de fermeture et l’absence d’activité touristique ont plongé les commerces et les restaurants de Solidere dans un coma économique profond. Réduction de salaires, licenciement de personnels, certains commerces ont dû recourir à des mesures drastiques vu l’ampleur des pertes. Celles-ci avoisinent les 95 % pour le seul mois de février. Les rues de Solidere aujourd’hui dépeuplées, les consommateurs se sont alors rués vers les zones commerciales avoisinantes, notamment celles d’Achrafieh. Malgré les pertes financières, les professionnels restent néanmoins optimistes et s’attendent à une saison estivale plutôt prospère.
Cœur touristique et commercial de la capitale, le centre-ville de Beyrouth ne bat plus qu’au rythme des manifestations. Aujourd’hui, un mois après l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri, les commerçants encaissent mal le choc des événements : un choc moral, mais aussi économique. Plusieurs jours de fermeture et l’absence d’activité touristique ont plongé les...