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Actualités - CHRONOLOGIE

Voile - Trophée Jules Verne La plus mauvaise journée d’Orange

Bruno Peyron et son équipage du maxicatamaran Orange II, lancé à l’assaut du record du tour du monde à la voile en équipage, enchaîne les mauvaises journées, la 44e, hier, étant la plus mauvaise depuis le départ avec une progression de 166 milles seulement. Mercredi matin, Bruno Peyron indiquait avoir passé la dorsale (la ligne de démarcation entre deux systèmes météos), s’attendre à avoir encore un à deux jours de vents moyens. C’est uniquement après que le retour vers Ouessant sera sereinement envisagé. « Il y a 12 nœuds de vent, le bateau avance à 17 nœuds », précisait Peyron lors de la vacation d’hier après-midi. « Mais ce n’est pas très régulier. » « C’est important que le barreur soit très concentré pour garder de la vitesse avec le vent apparent, a-t-il expliqué. Cela redémarre tout doucement. Nous avons traversé une partie de la dorsale et il faut maintenant prendre notre mal en patience. On sort tout doucement de ce piège qui peut devenir pénible si cela dure trop longtemps ! » « La situation météo est la même qu’hier avec cette grande dorsale qui s’étend depuis le Portugal (Orange se trouve aux environs des Antilles), a poursuivi le skippeur. Notre trajectoire va vers le nord-ouest pour en faire le tour. Après, nous rejoindrons un système de dépression classique. Le temps est superbe, il n’y a pas trop de vent mais nous nous contentons de ce que nous avons », a conclu Bruno Peyron.
Bruno Peyron et son équipage du maxicatamaran Orange II, lancé à l’assaut du record du tour du monde à la voile en équipage, enchaîne les mauvaises journées, la 44e, hier, étant la plus mauvaise depuis le départ avec une progression de 166 milles seulement. Mercredi matin, Bruno Peyron indiquait avoir passé la dorsale (la ligne de démarcation entre deux systèmes météos),...