L’indicible s’est encore une fois produit hier devant le Saint-Georges. Ignorée par les services sécuritaires, rejetée par les juges, abandonnée par l’État, la famille Ghalayini a tout affronté dans sa solitude. Et c’est à travers un scénario surréaliste qu’elle a dû forcer le cordon de sécurité pour aller découvrir elle-même, par un incroyable concours de circonstances,...
Actualités - CHRONOLOGIE
Le corps de Ghalayini découvert 16 jours après l’attentat, les autorités concernées définitivement discréditées Sur les lieux du crime, l’horreur en continu(photo)
le 03 mars 2005 à 00h00
L’indicible s’est encore une fois produit hier devant le Saint-Georges. Ignorée par les services sécuritaires, rejetée par les juges, abandonnée par l’État, la famille Ghalayini a tout affronté dans sa solitude. Et c’est à travers un scénario surréaliste qu’elle a dû forcer le cordon de sécurité pour aller découvrir elle-même, par un incroyable concours de circonstances, le corps de Abdel-Hamid Ghalayini, enseveli sous quelques centimètres de terre.
Si les invectives des proches vont vers le président de la République et les services sécuritaires, il demeure absolument nécessaire de déterminer, et de punir, les responsables de cette « désinvolture » criminelle : et de savoir donc à qui incombait la mission de trouver les corps des victimes, et qui a empêché les équipes de recherche d’intervenir sérieusement sur ce plan depuis deux semaines.
L’indicible s’est encore une fois produit hier devant le Saint-Georges. Ignorée par les services sécuritaires, rejetée par les juges, abandonnée par l’État, la famille Ghalayini a tout affronté dans sa solitude. Et c’est à travers un scénario surréaliste qu’elle a dû forcer le cordon de sécurité pour aller découvrir elle-même, par un incroyable concours de circonstances,...
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