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Actualités - CHRONOLOGIE

Hoss inquiet d’une « crise de pouvoir qui pourrait durer »

L’ancien Premier ministre Sélim Hoss a exprimé hier son inquiétude concernant « une crise de pouvoir qui pourrait durer ». « J’ai peur que la partie victorieuse, l’opposition, ne soit en état d’extase, que le gouvernement actuel ne soit incapable de s’occuper au minimum des affaires courantes, et que le pays ne soit par conséquent exposé à tous les dangers, aux niveaux politique, social et économique », a-t-il poursuivi. Et d’ajouter : « J’aurais préféré que le gouvernement présente sa démission au lendemain de l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri, ce qui aurait été préférable pour ses membres et pour tout le monde. » M. Hoss a considéré que « le principal point de discorde n’est plus une question de conflit de principe, puisque toutes les parties ont annoncé leur attachement à l’application de l’accord de Taëf, qui est en mesure d’offrir des issues à tous les problèmes, par le redéploiement des troupes syriennes dans la Békaa et l’arrêt des interventions des services de sécurité ».
L’ancien Premier ministre Sélim Hoss a exprimé hier son inquiétude concernant « une crise de pouvoir qui pourrait durer ». « J’ai peur que la partie victorieuse, l’opposition, ne soit en état d’extase, que le gouvernement actuel ne soit incapable de s’occuper au minimum des affaires courantes, et que le pays ne soit par conséquent exposé à tous les dangers, aux niveaux...