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Opposants et loyalistes déplorent une grande perte pour le Liban

Plusieurs personnalités et courants politiques de l’opposition ont condamné hier, certains d’une manière virulente et d’autres avec une grande douleur, l’attentat. Tous ont repris certains des arguments déjà exprimés par l’opposition, de la démission du pouvoir à la piste syrienne, en passant par la nécessité d’une enquête internationale. Parmi ces personnalités et courants : le Renouveau démocratique, la Gauche démocratique, le Bloc tripolitain des députés Mohammed Safadi, Mohammed Kabbarah et Maurice Fadel, les députés Misbah el-Ahdab, Pierre Gemayel et Nazem Khoury, l’avocat Sinane Barraj, le Parti communiste libanais et le parti Ramgavar. Le Renouveau démocratique a qualifié l’attentat de « terroriste », estimant qu’il y avait désormais « deux voies possibles à suivre : la soumission à un régime éternel de tutelle et de suivisme, ou la renaissance et la victoire pour le rétablissement de la souveraineté, de l’indépendance et du régime démocratique ». Dans les milieux loyalistes, l’attentat a été considéré comme un crime contre le Liban, son peuple, sa stabilité et sa sécurité, et comme une volonté de semer à nouveau la discorde dans le pays. Le bloc parlementaire du président Nabih Berry, le vice-président de la Chambre Michel Murr, le ministre Abdelrahim Mrad, le parti Baas, les députés Jamal Ismaïl, Michel Moussa, Marwan Farès, Sayed Akl, Jihad Samad, Wajih Baarini, Béchara Merhej, Karim Racy, Nehmetallah Abinasr et Adnane Arakji, l’ancien ministre Mohammed Abdelhamid Beydoun, l’ancien député Salah Haraké, Kamal Chatila, les Najjadé et diverses formations nassériennes ont ainsi abondé dans ce sens. Parmi ceux qui ont également condamné l’attentat : Dar el-Fatwa, le Conseil supérieur chiite, l’uléma Mohammed Hussein Fadlallah, cheikh Bahjat Ghaïth, le patriarche grec-orthodoxe Ignace IV Hazim, l’ancien Premier ministre Rachid el-Solh, l’Ordre des moines libanais maronite et l’Ordre des antonins, les anciens députés signataires de Taëf, Fouad Makhzoumi, Élias Abou Rizk et Me Edmond Naïm.
Plusieurs personnalités et courants politiques de l’opposition ont condamné hier, certains d’une manière virulente et d’autres avec une grande douleur, l’attentat. Tous ont repris certains des arguments déjà exprimés par l’opposition, de la démission du pouvoir à la piste syrienne, en passant par la nécessité d’une enquête internationale. Parmi ces personnalités...