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Pharaon : Non à la dissociation des volets libanais et syrien

Le député de Beyrouth, Michel Pharaon, a souligné hier l’importance « d’un accord définitif concernant notamment une loi électorale représentative ». M. Pharaon a ainsi estimé que « la loi de 1960 et le caza ont pu recueillir l’assentiment de la plupart des Libanais ». « Nous devons nous mettre d’accord sur cette formule (...), et sans en excepter Beyrouth, pour qu’il n’y ait pas de confrontations brutales qui ne servent ni les intérêts de la nation ni ceux de la capitale », a-t-il ajouté. L’ancien ministre a tenu ces propos lors de l’inauguration d’un centre médical à Bourj Hammoud. Après une allocution de bienvenue de l’évêque arménien-orthodoxe, Kegham Khatcharian, qui a salué le rôle joué par M. Pharaon dans ce projet, le député de Beyrouth a estimé qu’il était nécessaire de trouver « une nouvelle équation garantissant l’accomplissement de la réconciliation nationale, l’application de l’accord de Taëf et des résolutions internationales, parmi lesquelles figure la 1559, sans que cela ne se fasse aux dépends de la résistance (...) ou des interêts légitimes syriens dans cette conjoncture régionale dangereuse, et sans qu’il n’y ait dissociation entre les volets libanais et syrien ».
Le député de Beyrouth, Michel Pharaon, a souligné hier l’importance « d’un accord définitif concernant notamment une loi électorale représentative ».
M. Pharaon a ainsi estimé que « la loi de 1960 et le caza ont pu recueillir l’assentiment de la plupart des Libanais ». « Nous devons nous mettre d’accord sur cette formule (...), et sans en excepter Beyrouth, pour qu’il n’y...