Si Damas a annoncé sans ambages à l’émissaire de l’Onu chargé de la mise en œuvre de la 1559, Terjé Roed-Larsen, son refus d’appliquer cette résolution, les autorités libanaises ont adopté un langage plus diplomatique et plus conciliant pour exprimer la même idée. Soucieux de garder les voies du dialogue ouvertes, le représentant de M. Kofi Annan a cependant affirmé avoir «...
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L’émissaire de Annan se veut optimiste en dépit des réserves de Beyrouth La 1559 et le traité libano-syrien de fraternité se recoupent, affirme Roed-Larsen
le 09 février 2005 à 00h00
Si Damas a annoncé sans ambages à l’émissaire de l’Onu chargé de la mise en œuvre de la 1559, Terjé Roed-Larsen, son refus d’appliquer cette résolution, les autorités libanaises ont adopté un langage plus diplomatique et plus conciliant pour exprimer la même idée. Soucieux de garder les voies du dialogue ouvertes, le représentant de M. Kofi Annan a cependant affirmé avoir « été énormément encouragé » par ses entretiens à « Beyrouth et à Damas » tout en soulignant de manière inattendue que la 1559 et le traité libano-syrien de fraternité, de coopération et de coordination « se recoupent ».
Si Damas a annoncé sans ambages à l’émissaire de l’Onu chargé de la mise en œuvre de la 1559, Terjé Roed-Larsen, son refus d’appliquer cette résolution, les autorités libanaises ont adopté un langage plus diplomatique et plus conciliant pour exprimer la même idée. Soucieux de garder les voies du dialogue ouvertes, le représentant de M. Kofi Annan a cependant affirmé avoir «...
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