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Pour la Gauche démocratique, la ligne politique défendue par Frangié est celle de Chareh
le 26 janvier 2005 à 00h00
La Gauche démocratique (GD) a répondu hier aux propos du ministre de l’Intérieur, Sleimane Frangié, estimant que ce dernier a prouvé qu’« il n’est pas un ministre au service des Libanais ». « C’est le ministre de la “ligne” au nom de laquelle le ministre Farouk el-Chareh s’est exprimé lorsqu’il a manifesté l’intention de Damas de maintenir son hégémonie sur le Liban durant deux années supplémentaires », a affirmé la GD, dans un communiqué.
« Le ministre de cette “ligne” n’a pas honte de révéler ses intentions au sujet du découpage de Beyrouth, qui vise à préserver les intérêts des loyalistes et protéger le pouvoir. Lorsqu’il menace l’opposition d’un coup d’État contre le projet de loi actuel, il révèle d’une manière flagrante que le pouvoir, et ceux qui le guident, désirent déterminer d’ores et déjà les résultats », affirme le communiqué.
Rejetant la logique et le ton du discours de M. Frangié, la GD a estimé que l’opposition se doit de faire échec à cette voie destructrice pour le Liban, à travers une bataille politique sur les principes du document commun de l’opposition, et non sur les calculs électoraux.
La Gauche démocratique (GD) a répondu hier aux propos du ministre de l’Intérieur, Sleimane Frangié, estimant que ce dernier a prouvé qu’« il n’est pas un ministre au service des Libanais ». « C’est le ministre de la “ligne” au nom de laquelle le ministre Farouk el-Chareh s’est exprimé lorsqu’il a manifesté l’intention de Damas de maintenir son hégémonie sur le Liban...
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