Sur l’architecture fine et dentelée de la musique de Jean-Sébastien Bach, la compagnie de danse Fêtes galantes, placée pour la chorégraphie sous la férule de Béatrice Massin, a offert aux mordus du ballet un spectacle de qualité intitulé Que ma joie demeure (notre photo Marwan Assaf). Jamais la partition du Cantor n’a été mieux servie pour exprimer la richesse et l’élégance...
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La compagnie Fêtes galantes au palais de l’Unesco La joie de danser(photo)
le 18 janvier 2005 à 00h00
Sur l’architecture fine et dentelée de la musique de Jean-Sébastien Bach, la compagnie de danse Fêtes galantes, placée pour la chorégraphie sous la férule de Béatrice Massin, a offert aux mordus du ballet un spectacle de qualité intitulé Que ma joie demeure (notre photo Marwan Assaf). Jamais la partition du Cantor n’a été mieux servie pour exprimer la richesse et l’élégance du style baroque, tout en jetant un pont vers un esprit absolument contemporain à travers un délicat équilibre de l’éloquence des corps et de la légèreté des notes.
Spectacle original qui fléchit toutefois à certains moments dans sa vibrante tonicité, tout en mêlant atmosphère de cour, aura de spiritualité et un malicieux clin d’œil à la modernité.
Sur l’architecture fine et dentelée de la musique de Jean-Sébastien Bach, la compagnie de danse Fêtes galantes, placée pour la chorégraphie sous la férule de Béatrice Massin, a offert aux mordus du ballet un spectacle de qualité intitulé Que ma joie demeure (notre photo Marwan Assaf). Jamais la partition du Cantor n’a été mieux servie pour exprimer la richesse et l’élégance...
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